Revue de presse PSG : Cavani, Motta, Diarra, Sochaux…

Vu et lu dans la presse écrite au sujet du PSG ce lundi 29 janvier 2018.

« Il existe un paradoxe Cavani. Il s’agit peut-être de l’attaquant le plus complet de l’histoire du club, le plus moderne (il marque, il défend, il court partout), ouvrant la voie à des profils similaires, Griezmann se revendiquant de lui, par exemple. Or l’émotion qu’il nous procure, de manière totalement subjective, nous semble moins forte que les palpitations nées des buts de Pauleta ou d’Ibrahimovic, juge Dominique Séverac dans Le Parisien. On s’en veut presque parce qu’on l’aime totalement. »

« Edinson Cavani a longtemps été au cœur de débats sans fin, ajoute le quotidien francilien. Depuis son arrivée à Paris à l’été 2013, le Matador se devait d’être soit un génie des surfaces infatigable, soit un footballeur à la technique rudimentaire dont les ratés amusaient ses détracteurs. « Ceux qui l’ont critiqué ne peuvent que se taire désormais, sourit Stéphane Guivarc’h. C’est vrai qu’il a pu parfois manquer de lucidité mais il ne faut pas oublier qu’il n’a pas joué à son véritable poste pendant trois saisons et qu’il fait des efforts défensifs incroyables. Désormais, il donne sa pleine mesure et il démontre qu’il est l’un des meilleurs au monde à son poste. »

« Thiago Motta a effectué un entraînement collectif normal hier. L’Italien sera trop court pour le nouveau déplacement en Bretagne, demain, mais pourrait être intégré au groupe ce week-end, rapporte L’Equipe. La préparation athlétique de Lassana Diarra se poursuit. Emery a indiqué hier sur beIN (lire ici toutes les informations) qu’il aurait sans doute besoin « d’une autre semaine » de séances avant d’être disponible pour le groupe. Une première apparition face à Sochaux (le 6 février) et une première titularisation contre Toulouse (le 10) ne seraient ainsi pas une surprise. »

« C’est un danger à ne pas sous-estimer. Depuis jeudi un sigle galactique à trois lettres menace de tourner en boucle dans les têtes sochaliennes, écrit L’Est Républicain. On veut parler bien sûr de ce fameux PSG qui débarquera à Bonal mardi 6 février. Face à une affiche aussi écrasante au sens médiatique, au sens strictement sportif, le risque est évident. Ne plus penser qu’à ça. À Châteauroux, Florin Bérenguer n’a pas pris de gants pour mettre les points sur les ‘‘i’’ et recommander la conduite à tenir : « Si on rate les deux matchs qui arrivent contre Lens et le Gazélec, c’est simple ! Notre saison sera terminée. Donc si on veut faire quelque chose, ne pas tout foutre en l’air, ce sont sur ces deux matchs qu’il faut se concentrer à 100 %. On aura le temps de savourer ce qui viendra après, de profiter au fur et à mesure. La presse fera le travail qu’il faut pour nous mettre la pression au quotidien ». Chaque chose en son temps. »

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