La revue de presse PSG : Celtic, Areola, Draxler, records, Wendel…

Vu et lu au sujet du PSG dans la presse hexagonale ce mercredi

« Après quatre raclées, 17 buts inscrits, zéro encaissé, l’enjeu majeur de PSG – Celtic ce soir se résume en un seul mot : continuer ! Et même foncer ! lance Le Parisien. Le PSG se rapproche du total du Borussia version 2016-2017 qui a poussé le record à 21 buts. Mais le plus impressionnant s’observe plus bas sur le terrain. Toutes ces victoires ont été obtenues… sans prendre un seul but ! Mais le football, ce n’est pas la NBA, les statistiques ne disent pas tout et parfois cachent même l’essentiel. Aucune équipe n’ayant remporté ses six matchs de poules n’a été sacrée en Ligue des champions. L’équipe d’Unai Emery a le droit de changer l’histoire. »

« Alphonse Areola traverse ce début de saison dans une relative discrétion, dans l’ombre des stars, poursuit le quotidien francilien. En Ligue des champions, sur l’ensemble des quatre premières rencontres, il rend une copie sans tache : 18 tirs cadrés, zéro but encaissé. Des performances qu’il duplique en L1, exception faite d’une bavure sans conséquence à Metz. […] Areola connaît mieux que quiconque la fragilité de son statut de titulaire. La saison passée, il fut successivement numéro 2 derrière Trapp, puis numéro 1, puis à nouveau numéro 2 après une période sombre à l’automne, tout cela en l’espace de quatre mois. Et en août dernier, alors qu’il venait de regagner sa place de titulaire, le PSG a tenté de recruter in extremis Pepe Reina, le gardien espagnol de Naples. Drôle de marque de confiance… »

« Avec 60 buts inscrits en 17 matches (L1 + C1), Paris toise tous ses rivaux. Y compris en Ligue des champions, avec 17 buts inscrits, observe L’Equipe. Longtemps centré autour d’Ibra puis du seul Cavani la saison passée, le PSG s’appuie sur trois individualités complémentaires, avec un profil plus créatif (Neymar), un explosif (Mbappé) et un instinctif (Cavani). Mais tous presque aussi redoutables face au but. […] Le PSG a la possibilité de se rapprocher d’un premier exploit : remporter ses six matches de groupes en gardant sa cage totalement vierge. Tout en aidant Neymar à retrouver son top niveau. C’est ce que l’on pourrait appeler le triple effet Celtic : entretenir la série d’invincibilité en cours, écrire l’histoire, la sienne mais aussi celle de la Ligue des champions. »

« Une des grandes qualités des footballeurs est la capacité d’adaptation. Julian Draxler en est un bel exemple, juge le journal sportif. Dans cette équipe parisienne souvent en phase de possession, la technique léchée de Draxler présente de nombreux avantages. Ajoutée à sa qualité de placement entre les lignes et de tenue de balle, elle offre un appui précieux pour les phases de transition défense-attaque. Sa justesse de passe et son déchet minimal réduisent non seulement les pertes de balle (et les situations de déséquilibre qu’elles peuvent engendrer, surtout dans l’entrejeu), mais ils permettent aussi de fluidifier tout le jeu vers l’avant. Il est même le milieu parisien qui a porté le plus directement le danger depuis son repositionnement, avec déjà 2 buts et 2 passes décisives. Pourtant, en raison d’une intensité et d’un volume inférieurs à ses partenaires de l’entrejeu, sa participation au jeu est moins importante. Cette relative passivité se ressent aussi dans le jeu défensif. Parfois taxé d’être un peu nonchalant dans ses replis. Ça ne l’empêche pas d’être assez efficace dans les interceptions, tout en restant haut, grâce à son anticipation et à sa lecture du jeu. Reste à voir si cela ne sera pas pénalisant quand le PSG affrontera des équipes mieux armées et qu’il faudra que les trois milieux aillent au charbon, lui y compris. […] Même s’il se dit satisfait de la situation actuelle, il aimerait sentir plus de confiance de la part d’Emery et appréhende un peu la phase retour. Des échanges ont même eu lieu avec plusieurs clubs anglais (Liverpool, Arsenal et Manchester City) pour tâter le terrain en vue d’un éventuel prêt cet hiver. »

Enfin, il est question de Wendel : « au sein de la direction sportive parisienne, son profil ne fait pas l’unanimité. C’est pour cela que rien n’est encore fait sur ce dossier. Et avec les contraintes liés au fair-play financier – vendre avant d’acheter –, il n’est pas certain qu’il débarque à Paris dès cet hiver et ce, même si son profil finissait par être accepté par tous les décideurs du club. »

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