Revue de presse PSG : Kimpembe, Danilo Pereira, Mbappé, Italiens, notes

Vu et lu au sujet du PSG dans la presse hexagonale ce lundi 12 octobre 2020. Lendemain de 0-0 entre la France et le Portugal au SDF dans le cadre de la Ligue des nations.

« Le duel entre champions du monde et champions d’Europe est resté confiné dans une bataille tactique souvent ennuyeuse. Les deux équipes occupent toujours la première place du groupe », écrit Dominique Sévérac dans Le Parisien. « Pour l’instant, cette année 2020 si particulière a enrayé la belle machine bleue. Tout reviendra, paraît-il, mais on dirait que les Bleus nous demandent de la patience. »

Cristiano Ronaldo « a souvent trouvé sur son chemin un impeccable Kimpembe« , estime Frédéric Gouaillard dans le quotidien francilien. « Après avoir éteint Messi lors d’un mémorable PSG-Barça, le défenseur a triomphé de son meilleur ennemi. Ce n’était certes pas un match de la Ligue des champions, mais cette prestation témoigne des progrès effectués par Kimpembe ces derniers mois et de son installation progressive dans le onze titulaire français. » Quant à Danilo Pereira, c’est « une sentinelle et basta ! » lance le journaliste. Kylian Mbappé – plus jeune français à avoir atteint les 30 sélections – est noté 4.5/10 par Le Parisien. Presnel Kimpembe reçoit lui un 6/10.

Un match « plat et ennuyeux », juge L’Equipe. « Tout le monde a bien défendu, mal attaqué, et chacun a regretté sa soirée. Il ne s’est presque rien passé, selon une responsabilité réciproque. […] Le triangle d’attaque que tente d’installer Deschamps est resté empêtré. L’équipe de France continue de chercher, et elle continuera de le faire, puisqu’elle n’a pas trouvé. » Kylian Mbappé est noté 3/10 par le journal sportif, Presnel Kimpembe 6/10 et Danilo Pereira 4/10.

De son côté, l’Italie « conserve la tête de son groupe après avoir obtenu un nul en Pologne (0-0) devant 10. 000 spectateurs, une rareté actuellement », commente L’Equipe. « L’Italie s’est montré souveraine dans la construction, avec un Verratti facile, distillant des ballons à la pelle. Le milieu du PSG a régalé ses partenaires, a touché 130 ballons, record du match. Florenzi a été moins en vue dans son couloir droit : il devait surveiller attentivement les montées dans son dos et s’est assez peu aventuré devant. Mais Tuchel a dû apprécier l’entrée de Keane. Posté d’abord à droite avant de s’excentrer vers la gauche, l’attaquant a provoqué de réelles différences par son dribble et sa vitesse. Percutant, remuant, il a amené de la variété dans le style italien. »

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