La revue de presse PSG : Neymar, Motta, staff médical, Auteuil, CUP, Simonin…

Vu et lu au sujet du PSG ce vendredi 17 novembre 2017 dans la presse hexagonale.

« Neymar était absent, mais il a nourri l’actualité du PSG pendant la trêve internationale, observe Le ParisienComme Thiago Silva ou Ibrahimovic lors de leur arrivée à Paris en 2012, Neymar rencontre des problèmes d’acclimatation. Le club a eu beau mettre les petits plats dans les grands pour le placer dans les meilleures dispositions, cela ne suffit pas. Sa vie à Barcelone, son fils resté en Catalogne alimentent son spleen. Et son déménagement pour des raisons de sécurité ne contribue pas à l’apaiser.  […] Antero Henrique a pris la mesure de l’intensité du mal-être du Brésilien qui, s’il perdure, pourrait constituer un vrai problème. Il prend ainsi des nouvelles quotidiennes et entretient un rapport particulièrement étroit avec le père[…] La présence d’une clause de cession dans le contrat du Ney a aussi surgi dans les médias espagnols qui jonglent entre information et déstabilisation. On évoque une somme de 222 M€, ou plus sûrement de 500 M€ si elle doit exister. Le PSG dément fermement la présence d’une telle clause. »

« Neymar aurait finalement eu gain de cause sur l’affaire des penaltys, ajoute le quotidien francilien. C’est du moins ce que laisse entendre son compatriote Thiago Silva. Interrogé par nos confrères brésiliens de Globo Esporte, le capitaine parisien a en effet assuré que le prochain tireur serait bien Neymar, et non pas Cavani. »

« Thiago Motta souffre du ménisque droit et sera opéré lundi ou mardi aux États-Unis, rapporte L’Équipe. L’entraînement collectif d’avant-hier, à plus haute intensité, a réveillé la gêne et la douleur. Après discussion avec le staff médical et Unai Emery, décision a été prise de réaliser l’arthroscopie. Cet acte de chirurgie n’est pas très lourd et Motta devrait pouvoir faire son retour juste après la trêve hivernale. Son absence va obliger l’entraîneur à solliciter encore un peu plus Verratti, Rabiot et Draxler. Sauf si Emery fait davantage tourner dans ce secteur. […] Le cas Motta pourrait également crisper un peu plus les relations entre le staff technique et le médical. Emery et ses adjoints font preuve de défiance vis-à-vis de l’équipe du docteur Rolland et de son travail. Ils auraient ainsi milité pour une opération plus rapide afin de ne pas perdre de temps avec un hypothétique traitement. Mais tous les avis estimaient que sa blessure pouvait être soignée sans opération. En privé, Antero Henrique se montre lui aussi critique avec le staff médical. On prête au directeur sportif la volonté de placer l’un de ses proches. Mais sa tendance à étendre son influence n’est pas du goût de tous, en interne. Surtout, le docteur Rolland est apprécié des joueurs, des salariés et de Nasser al-Khelaïfi. Le président entretient une réelle amitié avec le médecin depuis que ce dernier s’est occupé d’une de ses proches, très malade, il y a quelques mois. Dans ces moments délicats pour Al-Khelaïfi, Rolland s’était montré très présent. »

« Le PSG a perdu le contrôle de la tribune. La phrase est de Philippe Boindrieux, en charge de la sécurité en attendant le recrutement d’un nouveau directeur sécurité, écrit Arnaud Hermant. Le dirigeant l’a prononcée quelques minutes après le PSG-Nice lors du débriefing. Ce soir-là, la K-Soce Team, une composante du CUP fêtait ses dix ans. Ils ont craqué 72 fumigènes. La commission de discipline de la LFP a ouvert une enquête sur ces faits et le PSG risque une sanction. Peut-être plus grave encore, des membres du CUP ont, en bloquant les accès, empêché les stadiers d’intervenir pour appréhender les fauteurs de trouble. Au club et chez les pouvoirs publics on s’interroge encore pour savoir comment autant d’engins pyrotechniques ont pu entrer dans la tribune. Cette affaire témoigne des relations compliquées entre la direction du PSG et ses ultras qui, à terme, aimeraient gérer eux-mêmes le virage Auteuil. Une réunion au ministère de l’Intérieur est prévue pour aborder ces difficultés. »

« La piste Laurent Simonin, son premier choix pour la direction de la sécurité, a du plomb dans l’aile, poursuit le journaliste. Sa demande de mise en disponibilité a reçu un avis négatif du rapporteur de la commission de déontologie de la fonction publique. La commission de déontologie devrait rendre sa décision sous dix jours. Si elle est négative, Laurent Simonin, contrôleur général à la préfecture de police de Paris, peut très bien ne pas en tenir compte. Il devra alors démissionner pour rejoindre le PSG. Mais ce choix comporte un risque, il ne pourra plus revenir dans la fonction publique, contrairement à une mise en disponibilité. »

« Face à l’armada parisienne, la plus séduisante d’Europe, la défense nantaise s’attend à souffrir. Sans peur », assure Presse Océan.

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