Revue de presse PSG : Pochettino, salaire, Neymar vs Alvaro

Vu et lu au sujet du PSG dans la presse hexagonale ce vendredi 15 janvier 2021, veille de match à Angers, 7e de la Ligue 1. Et surlendemain de la victoire contre Marseille (2-1) dans le cadre du Trophée des champions.

Car, « le clasico ne s’est pas arrêté au coup de sifflet final. Neymar et Alvaro ont joué la prolongation sur les réseaux sociaux« , observe Le Parisien. « Aucune chance que le conflit ne déborde cette fois sur le terrain disciplinaire. Qu’ils soient considérés comme puérils, amusants ou provocateurs, les messages échangés à partir des comptes personnels des deux joueurs n’ont rien d’illégal ou de juridiquement condamnables. Aucune chance donc de voir le Conseil national de l’éthique (CNE) saisir la commission de discipline de la Ligue. » En revanche, les retrouvailles le 7 février dans le cadre du OM-PSG, neuf jours avant la rencontre à Barcelone, peuvent inquiéter. Le prochain Clasico devient « un match piège, voire périlleux pour le Brésilien. »

Le journal francilien tire les premiers enseignements après trois matches sous les ordres de Mauricio Pochettino. Déjà le cap donnée avec un 4-3-3 aux allures parfois de 4-2-3-1. « C’était l’un des reproches majeurs adressés à Tuchel : des changements tactiques permanents qui brouillent la lisibilité du jeu parisien et finissent par perdre les joueurs et les observateurs. Désormais, le PSG possède une structure, et l’Argentin insiste avec, semblant garder Verratti dans ce rôle central, même quand Neymar est entré contre l’OM à la 65e. En travaillant dans et avec ce cadre, Pochettino permet à son groupe de développer des automatismes et des circuits de jeu dont il pourrait tirer les bénéfices d’ici quelques semaines. […] Gérer le vestiaire demeure l’un des défis majeurs d’un entraîneur du PSG qui n’a pas la carte de visite d’Ancelotti. Pour l’instant, le mariage Pochettino-vestiaire ne connaît pas de retard à l’allumage à l’heure où chacun veut gagner sa place. Pochettino n’a pas encore dégagé d’équipe type, notamment au milieu. Qui accompagnera Verratti ? Ils sont très nombreux pour les deux dernières places, entre Gueye, Paredes, Herrera, Pereira. Rafinha reviendra aussi », explique Dominique Sévérac, qui estime que le coach a tranché sur la hiérarchie en pointe. C’est 1/Icardi et 2/Kean.

Du côté de L’Equipe, le mouvement social dure depuis une semaine maintenant. Pas de journal ce jour. Mais le site donne le salaire de Mauricio Pochettino, il est en net d’impôts (hors primes collectives et personnelles) de 525.000 euros mensuels. « Ce traitement princier court jusqu’en fin de saison. Ramené à un salaire brut, l’entraîneur parisien émarge environ à 940.000 euros par mois. Il est donc au-dessus de la moyenne des salaires de son effectif qui se montait à 806.000 euros brut par mois pour la saison passée. Dans la grille des salaires du club, le technicien argentin pointerait juste après le Top 5 derrière Neymar, Mbappé, Marquinhos, Verratti, Di Maria et Navas. Ce revenu confortable progressera dès la saison prochaine. Il passerait à 625.000 euros de revenus net après impôts ce qui représente autour de 7,5 M€ nets par an et 13,4 M€ en brut. Sa dernière saison en option a aussi été négociée pour un montant de l’ordre de 670.000 euros net d’impôts par mois soit plus de 8M€ net par saison et autour de 14,5 M€ brut. » Des chiffres dans la norme des plus grands entraîneurs européens. Quant à Thomas Tuchel, il est parti avec 5M€ d’indemnités de licenciement.

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