La revue de presse PSG : Rabiot, Guedes, Cavani, jeu, infirmerie…

Vu et lu au sujet du PSG dans la presse hexagonale ce lundi 16 octobre 2017.

« Adrien Rabiot marque le pas depuis quelques semaines, juge L’Equipe. Peut-être peine-t-il un peu physiquement. Sa baisse de régime semble aussi coïncider avec ses titularisations de plus en plus régulières au poste de sentinelle. Est-ce seulement un hasard ? Peut-être pas. Rabiot n’apprécie pas cette position et ne veut pas y jouer. La prolongation de contrat, c’est un autre sujet épineux le concernant. Il est sous contrat jusqu’en 2019 mais elle n’avance pas. Les discussions n’ont même pas commencé et ce malgré la volonté légitime de la direction parisienne de sécuriser l’un de ses meilleurs jeunes. Récemment encore, Antero Henrique a tenté de prendre date. Sans succès. Du côté de Rabiot, on n’est pas pressé d’allonger ce bail. Sa mère, Véronique, avait fixé deux conditions. La première : que son fils ne joue pas en sentinelle, ou le moins possible. Sur ce point, la donne n’évolue pas dans le bon sens. Seconde condition : que le PSG recrute une doublure à Thiago Motta. Lorenzo Callegari (19 ans) pourrait être une alternative pour certains matches mais il est touché à une cheville actuellement. En interne, depuis qu’il est aligné en sentinelle, Rabiot n’est pas venu se plaindre. »

Le journal sportif se projette aussi sur le déplacement mercredi en Ligue des champions. « À ce jour, seul Edinson Cavani est partant quasi certain. Touché à un genou et au pied droit ces deux dernières semaines, il est un peu gêné mais il est opérationnel. Marco Verratti (adducteurs) demeure incertain, tout comme Thiago Silva (cuisse), Layvin Kurzawa (genou) et Thiago Motta (genou).« 

Gonçalo Guedes, prêté à Valence, « justifie enfin ce pourquoi le PSG avait déboursé 30M€ pour l’enrôler. À Valence (2e de la Liga), il est déjà un joueur majeur. En plus de son implication défensive, il séduit par sa vitesse et la verticalité de son jeu, qui conviennent parfaitement aux contres des Valencians. Sa grande forme n’a pas non plus échappé à Fernando Santos, le sélectionneur du Portugal, qui l’a convoqué pour les deux matches de la dernière trêve internationale ».

« Le jeu proposé par les Parisiens n’est pas encore à la hauteur des investissements consentis par les dirigeants, juge Le Parisien. Les matchs à Montpellier et Dijon en ont été la parfaite illustration. Mais le bilan comptable du PSG vient rappeler sa supériorité en Ligue 1. […] Depuis le début de saison, le club parisien alterne entre le chaud — ou le show — et des prestations insipides. Les copies rendues face à Lyon (2-0), Montpellier (0-0) ou lors de la première heure à Metz ont été de piètre qualité, et au regard du mercato galactique réalisé par Paris, on est en droit d’attendre davantage. »

Articles similaires

Bouton retour en haut de la page