Roger-Petit et les gars sûrs du PSG, Marquinhos, Aurier et Aréola

Bruno Roger-Petit positive. Il célèbre trois jeunes joueurs du PSG, qui répondent présent.

« Plutôt que d’accabler la malchance qui accable Cavani ou la maladresse qui s’acharne sur Di Maria, plutôt que de participer au procès sans avocat d’Emery ou se navrer de l’absence de Ben Arfa, on préfère ici ce jour se réjouir des gars sûrs du PSG, à savoir Aréola, Aurier et Marquinhos. Que pour une fois, au moins, causer football ne soit pas synonyme de permis de flinguer pour snipers en mal de cibles, écrit le journaliste sur son blog Sport24. On a compris pourquoi le PSG n’avait pas retenu David Luiz. Marquinhos est grand. Et de mesurer combien il eut été contre-productif de le retenir contre son gré alors qu’il entendait disputer les Jeux de Rio avec Neymar. Il est revenu galvanisé par sa médaille d’or. Et on a pu ainsi admirer combien il peut être précis dans une surface de réparation, sur un tacle effectué en seconde période. La maturité. La sérénité. Marquinhos quoi… Aurier. Impressionnant. Détonnant. Hallucinant. Un roc. Un Bloc. Un choc. Il est partout et tout le temps. Il est aujourd’hui le détonateur, si ce n’est le finisseur du PSG. L’homme des décalages décisifs. Des centres décisifs. Des percussions décisives. Des envolées décisives. Aurier est devenu aussi indispensable au PSG que Verratti. Et l’on comprend aujourd’hui pourquoi, à juste raison, le club a cherché à le conserver, malgré sa boulette sur Périscope l’an passé. C’est un géant. Aurier quoi… Aréola, enfin. Rassurant. Inspirant. Déterminant. Ce n’est pas ici que l’on veuille accabler Trapp, mais son « remplaçant » a inspiré tout au long du match ce sentiment que l’on nomme confiance. Aréola quoi… Avec ses gars sûrs, Marquinhos, Aurier et Aréola. Sûrs et d’autant plus précieux qu’ils sont jeunes encore. Et ont tout l’avenir devant eux. L’avenir du PSG. Le nôtre. »