Roger-Petit : « Si Cavani rate une occasion contre Monaco ou Barcelone, ils se jetteront dessus telle la vérole »

Bruno Roger-Petit, premier admirateur d’Edinson Cavani, sait que ses détracteurs attendent des contre-performances du Matador. C’est en tout cas sa vision des choses.

« Petit bilan. A ce moment de la saison, Cavani a inscrit 20 buts en Ligue 1. A ce rythme là, il pourrait faire au moins aussi bien qu’Ibrahimovic l’an passé, 38 buts en une saison. Ce que le numéro 9 du PSG est en train d’accomplir est phénoménal, mais il se trouve toujours des malfaisants pour tenter d’exploiter le moindre début d’esquisse de commencent de polémique, regrette le journaliste sur son blog Sport 24. On est bien tenté de reprendre ici l’une de nos citations fétiches, signée Ernst Hapel : « En football, il n’y a qu’une seule vérité, celle du tableau d’affichage ». Si le PSG balloté d’Emery s’est maintenu à flot depuis le début de cette saison qu’il faut bien qualifier tout à la fois de chaotique et transitionnelle, c’est bien à Cavani et ses 20 buts qu’il le doit. C’est un fait. Et les faits ne discutent pas, ils se constatent. Souvent, on s’interroge. Pourquoi, contre les faits et les évidences, les détracteurs de Cavani persistent-ils, avec une constance qui force l’admiration, à ne pas voir le joueur en marche ? Même après le match de Nantes, ce samedi, et les deux buts, les inlassables critiques ne désarment pas. « On verra contre Monaco et Barcelone » disent-ils, mettant la barre très haut pour se donner toutes les chances d’avoir raison au cas où le PSG serait battu ou éliminé par l’un et l’autre. Et qu’il rate une occasion, parions déjà qu’ils se jetteront dessus telle la vérole sur le bas clergé sarthois du 17eme siècle. […] Un but de Cavani contre Monaco, sur une passe de Verratti. Le but de la qualification contre Barcelone, sur une ouverture de Draxler. Les détracteurs de l’Uruguayen vont de voir s’y faire : impossible n’est pas Cavani. »

Articles similaires

Bouton retour en haut de la page