Revue de presse PSG : Leonardo, NAK, Bordeaux, fête, Allegri, Lazio…

Vu et lu au sujet du PSG ce samedi 22 février 2020 dans la presse hexagonale.

Les Girondins, qui n’ont plus battu Paris depuis le 15 mars 2015 et n’ont pris qu’un point depuis 2016. « Et demain ? », se demande Sud Ouest. « Meilleure équipe de L1 face aux Parisiens depuis quatre ans, Strasbourg a appuyé là où ça peut faire mal : l’agressivité, au point d’avoir même été pointé du doigt il y a un an pour avoir été trop loin dans ce domaine. Organisés en 4-5-1, disciplinés et solidaires, les Alsaciens avaient muselé le PSG pour s’imposer (2-1), avec aussi beaucoup de réalisme. La saison dernière (1-1 et 2-2), cette fois en 5-4-1, les hommes de Laurey ont utilisé une méthode similaire, avec deux lignes très serrées devant leur surface pour ne pas laisser d’espace ni de profondeur, et des prises à deux automatiques sur le porteur du ballon dans les 30 derniers mètres. »

Dans Le Parisien du 22 février 2020

« Leonardo doit serrer la vis », juge Le Parisien. « Entre Meunier qui ne savait pas qu’il serait suspendu en cas d’avertissement, les vives critiques de Neymar, et les insultes du frère de Kimpembe, le climat est explosif. En décalage complet avec la situation sportive, malgré la défaite, lit-on. La très peu discrète soirée d’anniversaire de Di Maria, Icardi et Cavani jeudi soir s’est ajoutée à ce contexte. […] Il serait très surprenant que le directeur sportif ne cherche pas à reprendre la main. […] Alors que le PSG traverse une semaine chaotique, le président reste en retrait et laisse volontairement Leonardo gérer les problèmes. Contrairement aux idées reçues, NAK est toujours aux manettes. « Mais il ne met plus les mains dans le cambouis », résume un agent. Ce n’est pas faux. Depuis le retour de Leonardo, les rôles sont mieux répartis. Al-Khelaïfi a pris du recul, il en avait besoin. Car 2019 restera une annus horribilis pour lui. […] Le Qatar reste maître à bord. Et le Qatar, au PSG, c’est Al-Khelaïfi. […] 2020, année du cinquantenaire du club, ne peut pas être un échec. Al-Khelaïfi en fait une question d’honneur.« 

Dans L’Equipe

« La défaite à Dortmund n’a visiblement pas affecté les joueurs, dont certains se sont amusés jusqu’à tard, jeudi soir, commente L’Equipe. Voir Navas, Neymar, Cavani et Paredes danser torse nu à une heure avancée de la nuit a pas mal fait jaser dans les bureaux du siège du club. […] En laissant de telles vidéos filtrer, les joueurs se rajoutent de la pression. L’idée que les joueurs ont les pleins pouvoirs à Paris continue de faire son chemin parmi le staff. Surtout, elle le conforte dans l’impression que ses ressorts de management sont vraiment limités. Pour contrer le débat du jour, Neymar a manié l’ironie sur Instagram en déclarant forfait pour le carnaval de Rio, qui débutait hier : « Cette fois, pas de polémique. »

Leonardo « s’intéresse à la réussite de la Lazio et porte un regard attentif sur son entraîneur, Simone Inzaghi, son latéral droit Adam Marusic (2022, valeur de 15M€ environ) et sa star serbe, Sergej Milinkovic-Savic », rapporte le journal sportif. Thomas Tuchel « se sait de plus en plus isolé. Ses contacts avec le Bayern sont toujours actifs pour préparer son éventuelle sortie. En parallèle, Leonardo maintient ses relations avec Allegri, libre. Son nom est aussi avancé à Manchester United, où Antero Henrique pourrait d’ailleurs débarquer comme boss du secteur sportif. Mais Leonardo a un sérieux penchant pour Simone Inzaghi (son contrat court jusqu’en 2021). » Quant à Milinkovic-Savic, il « affole l’Europe. La Juve, l’Inter, Manchester United et le Real sont à ses trousses. La Lazio pourrait le céder autour de 100M€, avec des bonus, pour racheter un contrat qui court jusqu’en juin 2024. Leonardo se penche déjà sur le marché qu’il appréhende le mieux, avec ses meilleurs contacts. »

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