La revue de presse PSG : Unai Emery, Diego Simeone, Laurent Blanc…
Vu et lu dans la presse hexagonale au sujet du PSG ce mercredi 8 juin 2016.
« Le PSG avance en parallèle sur les dossiers Unai Emery et Diego Simeone. Mais le premier paraît plus accessible que le second, affirme L’Equipe. Des contacts ont été intensifiés avec les représentants du premier la semaine dernière, alors que l’intéressé se faisait opérer d’un genou à Valence, et le PSG a trouvé des interlocuteurs réceptifs. Il sait, cependant, qu’il n’est pas la piste prioritaire. Les dirigeants parisiens avaient jeté leur dévolu sur Diego Simeone, au point de lui formuler une offre financière conséquente et de semer un vent de panique du côté de l’Atlético. El Cholo n’est pas insensible à l’intérêt du PSG, qui s’était déjà manifesté lors de la saison 2013-2014. Simeone demanderait encore du temps pour réfléchir. Le PSG en a-t-il ? Pas évident. C’est la raison pour laquelle il accélère sur le dossier Emery, même si rien n’était conclu, hier. (…) Laurent Blanc, via son entourage, a entamé des discussions avec ses dirigeants pour évoquer la suite et les deux parties envisagent une séparation à l’amiable. Elle coûtera cher. Entre Blanc et son staff, c’est un chèque de près de 20M€. »
« Le PSG est sur le point de tourner la page Laurent Blanc et d’engager Unai Emery, selon des sources proches du FC Séville, son club actuel, rapporte Le Parisien. L’officialisation pourrait prendre encore quelques jours, mais l’entraîneur basque est bel et bien le premier choix du PSG. Sa clause libératoire est fixée à 2M€. (…) Le portrait-robot tracé par ceux qui côtoient Emery est celui d’un dingue de football et surtout de travail. Un scientifique qui s’enfile des matchs à la chaîne et s’attarde sur chaque détail, un peu comme Bielsa. Son côté maniaque peut s’exprimer jusque dans certains rituels d’avant-match. Dans le relationnel et l’énergie insufflée, la filiation avec Diego Simeone est souvent mise en avant. (…) Il ne parle pas français, contrairement à son adjoint, Juan Carlos Carcedo qui arriverait dans ses bagages. »
