
Revue de presse PSG : focus sur les vainqueurs et perdants de l’Euro et de la Copa América
Vu et lu au sujet du PSG ce lundi 12 juillet 2021 dans la presse hexagonale… Les vainqueurs de l’Euro et de la Copa America… et les perdants sont les thèmes du jour.

L’Équipe de ce lundi revient bien évidement sur la
victoire de l’Italie mais aussi sur la performance du
« renversant » Donnarumma, qui a reçu la note de 8/10 et
avoue que le « PSG a fait une immense acquisition » cet
été. Rappelons que le futur parisien a détourné deux
penaltys lors de la séance tirs au but, après avoir été décisif en
demi-finale.
Le journal sportif juge qu’il a été « plein d’autorité
sur les corners et les coups de pied arrêtés
anglais » même s’il « est parfois un peu
téméraire sur des sorties très risquées. » Le quotidien
temporise en rappelant qu’il n’a que « 22 ans, et le mental
pour ne pas trembler en finale ».
Après avoir mis en avant « Gigio », comment ne pas revenir sur le « grand soir de Verratti », qui a de son côté obtenu la note de 6/10. Grâce à son mètre 65, c’est « à peine croyable », mais « son coup de tête » au deuxième poteau a amené l’égalisation italienne. Au fur et à mesure de la rencontre, « le numéro 6 italien a semblé se démultiplier » et « a sonné la révolte avant la pause ». Il a « ensuite livré une seconde période quasi parfaite dans la gestion du tempo » et « a su exploiter la totalité de son immense potentiel au meilleur moment ». Marco Verratti a signé « un match référence » sous le maillot de la Squadra.
Après l’Europe, direction l’Amérique du Sud et la
victoire de l’Argentine d’Angel Di Maria et Leandro Paredes contre
le Brésil de Neymar et Marquinhos. L’Équipe
analyse la performance de chaque joueur du championnat de France à
commencer par Di Maria, « l’héros
inattendu ». Titulaire à la surprise générale, le
numéro 11 du PSG « n’a pas tout réussi » mais « a
fait l’essentiel : un lob sur Ederson pour offrir le titre »
et « s’est transformé en héros
national ». Leandro Paredes a lui été
« solide comme un roc » et « a bien rempli
son rôle de chien de garde ». Le journal rajoute que
« son agressivité, sa vision du jeu et son jeu long ont été
précieux » et il est « destiné à être un des cadres de la
sélection ».
Côté brésilien, Neymar « a été le leader
technique » de sa sélection mais « n’a pas accompli sa
mission ». Il s’est montré « parfois tranchant
et souvent bien inspiré ».
Enfin Marquinhos fût « la valeur sûre » de ce
tournoi et « n’a rien à se reprocher ».

Dans son édition du jour, Le Parisien félicite Marco Verratti
« pour sa rencontre formidable » face aux
Anglais et fait un trait d’humour en expliquant qu’il va
se « marier deux fois cette semaine » : Avec sa fiancée
-Jessica Aidi- la semaine prochaine et « avec la gloire depuis
ce dimanche soir ».
Sur le sujet de la finale de la Copa America, le journal
local revient sur le « bijou » d’Angel Di Maria qui
mériterait « une statue à son effigie », lui qui
est « un porte bonheur pour l’Albiceleste« .
Neymar « pleurait de détresse et de
tristesse » mais « n’a pas grand chose à se
reprocher » au terme de la compétition. Son accolade
avec son ancien coéquipier, Leo Messi, « restera l’un des
moments forts » de ce tournoi.
Accrochez-vous maintenant. Dans la Charente Libre on trouve un billet d’humeur salé signé Thierry Châtellier. Le texte à la logique bancale commence ainsi : « Le PSG est-il devenu une fabrique de loosers et Neymar son ambassadeur le plus éminent ? » Deux petits extraits : « Samedi, le soliste a réussi l’exploit de perdre en finale de la Copa contre une sélection argentine, dont la culture de la défaite est presque légendaire » ou encore : « Courtisé par le PSG, Messi, lui, n’exclurait pas de resigner au Barça, certain qu’il a plus de chances de retrouver les sommets avec Lenglet et Memphis qu’avec les comètes parisiennes. »