Roger-Petit met Areola et Trapp dans le même panier

Depuis la « boulette » d’Alphonse Areola contre Lille, la tendance chez les observateurs est de mettre Kevin Trapp dans le même panier. Ce que fait également Bruno Roger-Petit.

« Oui, Areola est coupable. 100 fois coupable. 1000 fois coupable. Très bien. C’est dit. Et ensuite ? Un ancien gardien du PSG, qui connait son affaire depuis qu’il a carburé au Fruité c’est plus musclé durant les années Platini, le confiait récemment à ses amis Facebook. « Ne pas choisir entre deux gardiens, c’est faire deux mauvais gardiens ». Personne ne pouvant nier que Jean-Michel Moutier ne connait pas son affaire, on invite à méditer ici sur le sens et la portée de cet axiome. Et l’on veut plaider ici les circonstances atténuantes pour Areola, écrit le journaliste sur son blog Sport24Emery s’est enferré dans une drôle de gestion de ses gardiens. Et à l’arrivée, qu’il s’agisse de Trapp ou Aréola, le PSG se retrouve avec des numéros zéros. Et pourtant, faut-il le répéter, encore et encore, au poste de gardien de but, la hiérarchie doit être claire et nette. C’est la particularité de ce poste. Tout le monde le sait. Les dernières sorties de Trapp, quand bien même elles n’ont pas été entachées de magistrales erreurs comme celles commises l’an passé, n’ont guère été rassurantes (noté 7/10 par L’Equipe et Le Parisien face à Monaco, ndlr). Le gardien allemand demeure fébrile. Son jeu au pied fragile. Ses prises de balle malhabiles. C’est une réalité. […] Tout cela est bien inquiétant alors que se profile le choc contre Barcelone. Pour le moment, une seule chose relève de la certitude : Ne pas choisir entre deux gardiens, c’est faire deux mauvais gardiens ».

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