La revue de presse PSG : Pastore, reprise, Mbappé…

Vu et lu au sujet du PSG ce mercredi 3 janvier 2018 dans la presse écrite.

« Trop souvent blessé, Javier Pastore n’aura pas été la recrue prolifique que les Qatariens espéraient en 2011. Pourtant, le Parc des Princes, qu’il pourrait quitter cet hiver, lui voue toujours un véritable culte, écrit L’Équipe. Un amour inconditionnel d’autant plus surprenant qu’il aura passé six ans et demi à jouer les intermittents du spectacle, la faute à des blessures récurrentes et aux choix d’entraîneurs pragmatiques. […] Selon un proche du joueur, « c’est la faute du staff médical du PSG qui ne l’a pas laissé se reposer après son retour de la Copa America 2015 et ne l’a pas bien soigné. Tout est parti de là et ça me met très en colère. À un moment donné, on était tous tellement désespérés que je lui ai même conseillé d’aller voir un sorcier, ce qu’il a refusé de faire ». Du côté du club, on estime avoir tout fait pour Pastore (il a notamment été envoyé en soins au Qatar et à Madrid). Entre les lignes, des acteurs proches du club évoquent aussi « une certaine fragilité mentale », malgré son sourire constamment affiché. […] À l’heure où son corps semble le laisser en paix, il n’a plus que deux possibilités : rester à Paris, à condition de jouer les grands matches pour gagner sa place au Mondial. Ou bien partir vite et aller faire voir son talent ailleurs dès cet hiver, à l’AS Rome, l’Inter Milan ou l’Atlético de Madrid, par exemple. […] Dans ce dossier, il ne faut pas oublier le lien qui unit Nasser al-Khelaïfi à Pastore. Le PSG peut-il céder son « chouchou » ? Ce sera l’enjeu des prochains échanges entre les deux parties. »

La presse (en général) rappelle que c’est jour de reprise pour le PSG aujourd’hui au Camp des Loges en début d’après-midi, quatre jours avant le 32e de finale de Coupe de France face à Rennes. Avec à priori un groupe sans blessé.

Le Parisien propose un entretien avec Antonio Riccardi, l’un des premiers entraîneurs de Kylian Mbappé à Bondy. « On l’a su très tôt, à l’âge de 8 ou 9 ans, qu’il deviendrait un crack. Dans sa catégorie, Kylian était toujours au-dessus des autres. Alors qu’il devait jouer avec les moins de 13 ans, on l’avait surclassé avec les moins de 15 ans et il était décisif. On savait qu’il irait dans un centre de formation. Moi, j’étais persuadé qu’il passerait à la télé. […] C’est un bel exemple pour le football d’aujourd’hui : il joue très bien et s’exprime très bien. C’est un super-emblème pour les jeunes et pour notre département de Seine-Saint-Denis. Se retrouver 7 e du Ballon d’or à 18 ans, c’est dingue ! »

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