La revue de presse PSG : Rabiot, Leonardo, Kurzawa…

Vu et lu au sujet du PSG ce vendredi 12 mai 2017 dans la presse nationale.

« Adrien Rabiot s’interroge sur son avenir au PSG. Le milieu parisien a mal vécu certaines décisions d’Unai Emery et se pose des questions sur le projet du club, affirme L’Equipe. Très mécontent de ne pas avoir été titularisé pour le choc à l’Allianz Riviera, Rabiot (22 ans) n’avait pas masqué sa déception. […] Au-delà de sa déception du moment, il s’inquiète de la direction prise par le PSG. Et ce malgré des relances de la direction parisienne et notamment de Patrick Kluivert qui échange régulièrement avec Véronique Rabiot. Il ne veut rien précipiter et surtout pas une prolongation de contrat (2019). Son clan souhaite connaître le recrutement et le virage que prendront les responsables parisiens au sujet de la direction sportive. La dernière réserve de Rabiot tient à son positionnement sur le terrain. Il n’a jamais caché qu’il voulait évoluer en relayeur et non en sentinelle ».

« Layvin Kurzawa a été opéré avec succès d’une pubalgie, hier par le spécialiste Gilles Reboul, lit-on par ailleurs. Kurzawa devrait pouvoir retrouver les terrains début juillet pour la reprise. »

Leonardo exclut tout retour au PSG dans Le Parisien. « Le lien est éternel. Mais je ne reviendrai pas au PSG une nouvelle fois. Pourquoi ? D’abord, je ne suis pas à la recherche d’un travail. Ensuite, s’il n’y a pas de sentiment particulier qui me pousse à faire quelque chose, je ne le fais pas, ce n’est pas la peine. Enfin, ce qui a été fait avec le PSG appartient au passé. Quand je suis parti en 2013, c’était une décision forte de ma part et je savais aussi qu’il y avait des conséquences. C’est comme lorsqu’un couple se sépare. C’est toujours difficile d’essayer de revivre ensemble sous le même toit. Et puis, le club aussi a changé, a évolué. Il faut passer à autre chose. En contact avec le club ces dernières semaines ? Non. En contact avec Nasser Al-Khelaïfi ? Bien sûr. J’ai toujours une bonne relation avec Nasser. Mais, sincèrement, mon vrai rapport, c’est avec le propriétaire (Tamim Al-Thani). […] Le PSG se développe pour gagner un jour la Ligue des champions. 85 % du travail a été fait. Il reste 15 %, et c’est justement la partie la plus difficile. »