Revue de presse PSG

Vu et lu au sujet du PSG dans la presse nationale ce lundi 10 avril 2017.

« Il faudra peut-être des années et un travail d’historiens du PSG pour mesurer la vraie trace du passage d’Edinson Cavani au sein du club. Celle-ci dépendra du palmarès final de l’Uruguayen et de sa place dans la hiérarchie des buteurs parisiens. Mais si, un mois après le traumatisme barcelonais, le PSG peut encore rêver à un triplé Coupes-Championnat, Cavani (42 buts en 41 matches, 29 en L 1) y est pour beaucoup. Vraiment beaucoup, juge L’Equipe. Il faudra également qu’il soit accompagné par cet Angel Di Maria-là. Transparent cet hiver au point de susciter des critiques virulentes (et justifiées), l’Argentin a confirmé hier soir qu’il était dans une dynamique étincelante. […]  Au moment d’analyser cette rencontre face aux Bretons, pas sûr qu’Unai Emery ne retienne que la dernière demi-heure. Pas sûr non plus que l’Emir Tamim Al-Thani, installé dans les tribunes du Parc des Princes, n’ait goûté à la prestation parisienne pendant les 55 premières minutes. »

Les notes de L’Equipe : Trapp 6 / Meunier 6 / Aurier 6 / Kimpembe 4 / Kurzawa – / Verratti 6 / Rabiot 5 / Matuidi 6 / Di Maria 8 / Cavani 8 / Draxler 3

Les notes du Parisien : Trapp 5.5 / Meunier 5 / Aurier 5.5 / Kimpembe 5 / Kurzawa – / Verratti 6.5 / Rabiot 4.5 / Matuidi 6 / Di Maria 7 / Cavani 8 / Draxler 3.5

« Certains appelleront ça une journée pour rien, avec le succès des trois premiers, Monaco, Nice et le PSG. C’est tout le contraire, en tout cas pour Paris, parfait dans son rôle de chasseur. Il se met dans la position du tireur couché avec Monaco toujours dans le viseur et qu’il n’hésitera pas à doubler si la formation de la Principauté connaît quelques ratés à l’heure du sprint final. Monaco va maintenant entrer dans le cycle de ses grands matchs de Ligue des champions, écrit Le ParisienUne période à l’envers, une autre à l’endroit, le tricot parisien a failli ressembler à rien avant de laisser une très jolie impression. Avec de si bonnes dispositions tardives, le PSG a laissé un regret : il ne reprend que trois buts au goal-average au club du Rocher sur cette journée. Car Monaco ne possède pas que trois points d’avance, mais aussi 19 buts. Tout va compter. »

« On a retrouvé le vrai Angel Di Maria, après une première partie de saison aux contours d’énigme, ajoute le quotidien francilien. Il a fallu que Draxler vienne apporter une dose de concurrence et que le Spaghetti démarre l’année sur le banc pour qu’il retrouve sa capacité de révolte et son génie. « Je crois que j’étais trop tranquille, admet-t-il. Quand ça arrive, il faut changer d’état d’esprit et réagir. Je crois que je ne faisais pas assez attention. » Di Maria a aussi retrouvé le sourire. Décrit comme parfois esseulé dans le vestiaire, il a accueilli Lo Celso, son voisin de Rosario, à bras ouverts. Hier, on l’a vu perché dans les bras de la moitié de l’équipe lors de l’ouverture du score, après avoir adressé son traditionnel cœuravec-les-doigts à son clan. »

« Trop forts, tout simplement. C’est ainsi que résume la victoire du PSG (4-0) Le Télégramme. Depuis leur revers au Roudourou le 17 décembre (2-1), les Parisiens n’avaient pas concédé la moindre défaite en Ligue 1 (dix victoires, deux nuls). Sous les yeux de leur propriétaire, l’émir Tamim Al-Thani, ils ont poursuivi sur leur lancée sans qu’il n’y ait rien à redire. Impressionnants en finale de la Coupe de la Ligue (4-1) il y a une semaine, les joueurs de la capitale étaient tout simplement trop forts. « Leur travail de sape de la première mi-temps a fini par payer, constatait sobrement Lucas Deaux. Ils ont exploité deux pertes de balle sur les deux premiers buts, dont une de ma part sur le deuxième. Ce n’était pas un grand Paris, mais un Paris efficace ». Un PSG qui a encore alourdi l’addition par Matuidi, le jour de ses 30 ans ! »

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