La revue de presse PSG

Vu et lu au sujet du PSG dans la presse hexagonale ce mercredi 13 septembre 2017.

« On leur promettait l’enfer, ils ont eu le paradis, s’amuse Le Parisien. Le Celtic a subi sa pire défaite à domicile dans une compétition européenne, malgré un public fantastique qui a vécu le même calvaire et souffert le martyre à l’unisson son équipe. Car ils ont beau ne pas marcher seuls, les joueurs écossais ont surtout beaucoup couru après les Parisiens. Sans jamais les rattraper. Le milieu parisien a orchestré les débats, les trois attaquants de la MCN ont marqué et Areola a prouvé qu’il valait mieux que son coup de tête foireux de Metz. C’est le résumé d’une soirée où Kurzawa, malgré sa passe décisive en fin de partie, n’a pas chassé tous les doutes qui entourent son début de saison. Mais ça, c’est si l’on veut pinailler. Tout l’été, l’Europe a toisé le PSG et ses dépenses XXL avec de gros yeux. Ce matin, elle considère le club de la capitale et son attaque avec un sentiment nouveau de crainte. Dans une cathédrale du Celtic Park réduite au silence, le trio Mbappé, Cavani, Neymar (baptisé MCN), a envoyé un message tonitruant. »

« Hatem Ben Arfa devrait retrouver le groupe pro cette semaine, selon son entourage, lit-on par ailleurs. Les retrouvailles avec les pros seront au plus tôt pour vendredi, puisque le groupe dispose de deux jours de repos. »

Les notes du Parisien : Areola 7 / Alves 6 / Marquinhos 6 / Silva 7 / Kurzawa 5 / Verratti 6.5 / Motta 8 / Rabiot 6.5 / Mbappé 6 / Cavani 7 / Neymar 6.5

Les notes de L’Equipe : Areola 7 / Alves 7 / Marquinhos 6 / Silva 6 / Kurzawa 6 / Verratti 7 / Motta 7 / Rabiot 8 / Mbappé 7 / Cavani 7 / Neymar 7

« La MCN a plié le match en 40 minutes hier et offert au PSG une entrée réussie en Ligue des champions. En quatre jours, elle a déjà inscrit huit buts… écrit L’Équipe. C’est cher mais efficace. Terriblement efficace, même. Les trois fantastiques parisiens, Mbappé, Cavani, Neymar – dont le prix cumulé atteint les 466 M€ – ont à eux seuls éteint les espoirs du Celtic. […] Même si le Celtic n’est pas l’étalon parfait pour jauger du statut de favori, la manière dont le PSG l’a éteint, malmené, étrillé, quasiment humilié dans son Park, hier soir, donne un aperçu assez net de ce dont cette équipe est capable. […] Il est arrivé, dans un passé récent, que le PSG diffuse un sentiment de domination comparable sur le continent. À Anderlecht, en 2013, ou à Malmö, en 2015, il s’était imposé sur le même résultat et les premières conclusions se voulaient aussi optimistes. La suite de la compétition ne les avait pourtant pas confirmées. Là, franchement, on attend cette suite avec impatience. Parce que ces Parisiens semblent disposer d’une vraie marge de progression. Ils ont joué la seconde période contre le Celtic sur un rythme de sénateurs mais ils n’ont pas vacillé pour autant. Ils ont changé de système en fin de match, pour essayer une nouvelle fois quatre attaquants simultanément, comme s’ils avaient une idée bien précise en tête dans l’optique des prochains rendez-vous. Avec un tel effectif, il serait effectivement dommage de laisser trop de talents sur le banc. Avec un tel effectif, on se dit que l’audace sera forcément récompensée et que ce sera aux futurs adversaires du PSG de s’adapter à son style. »

Presse PSG« Un but pour Neymar, un pour Kylian Mbappé, un doublé pour Edinson Cavani: la ligne d’attaque du PSG, la plus chère de l’histoire, n’a pas manqué ses grands débuts mardi en Ligue des champions, pour le plus grand malheur du Celtic (5-0), résume l’AFP. Le match avait quand même des allures de petit traquenardD’abord parce que le PSG, à cause de ce recrutement historique, faisait face à beaucoup d’attentes et était obligé de réussir son match. Ensuite parce que le Celtic, même loin de ses années glorieuses – il fête cette année le cinquantenaire de son titre en Coupe des clubs champions, en 1967 -, reste une équipe habituée aux joutes continentales. Enfin parce que le Celtic Park, que les fans du club ont renommé “Paradis”, est une fournaise les soirs de joutes européennes. Les 1.400 supporters parisiens présents pour le match ont tenu la comparaison jusqu’à une grosse demi-heure avant le coup d’envoi, quand les Ecossais préféraient la tiédeur des buvettes au froid des tribunes. Mais jusqu’aux dernières minutes du match, rien à faire. »

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