27/10 : Revue de presse PSG : Pastore, Cavani, corners…

Vu et lu au sujet du PSG dans la presse nationale ce jeudi 27 octobre 2016.

« Hier matin, Javier Pastore a effectué sa première séance d’entraînement avec le groupe depuis un peu plus de trois semaines. Sans ressentir de douleurs, a priori. De là à imaginer sa présence dans le groupe qui se déplacera à Lille, demain, il y a un pas que seul Unai Emery décidera de franchir, ou pas, écrit L’EquipeCela paraît cependant prématuré. D’abord parce que Pastore n’aura effectué, au plus, que deux séances collectives (s’il participe à celle de ce matin). Ensuite parce que le joueur et le staff technique du PSG sont bien décidés à ne rien précipiter. (…) Si son retour à la compétition ne s’effectue pas au stade Pierre-Mauroy, l’Argentin pourrait figurer dans le groupe qui recevra Rennes, neuf jours plus tard au Parc des Princes, plutôt qu’à Bâle, mardi, en Ligue des champions. »

« Cela ne pourra pas durer éternellement. Edinson Cavani marque près de la moitié des buts du PSG cette saison. Ses 13 réalisations, toutes compétitions confondues, permettent au PSG de comptabiliser plus de buts que la saison dernière à la même époque (29 buts contre 28). Une performance qui souligne le début de saison canon de l’attaquant mais dessine aussi une anomalie, observe Le Parisien. Dans les grands clubs européens, aucune équipe n’est aussi dépendante d’un buteur. Pas plus la Juventus Turin d’Higuain (35 % des buts) que le Barça de Messi (30 %). Jusqu’ici Cavani fait le travail pour deux. Mais le PSG peut douter qu’il puisse marquer, en plus des siens, les 50 buts annuels de Zlatan Ibrahimovic. (…) Le moins que l’on puisse dire, c’est que les Parisiens manquent d’imagination pour percer ces blindages. Tant individuellement que collectivement. »

« Face à Marseille, les coéquipiers de Thiago Silva ont obtenu huit corners. Cinq ont été tirés « à la rémoise », constate le quotidien francilien. Une proportion inédite depuis le début de la saison. S’ils l’ont toujours utilisée, la technique est nettement privilégiée depuis quelques matchs. Un choix réfléchi qui interpelle. Depuis le début de la saison, Paris a inscrit seulement deux buts sur corner. « Le gros avantage est que l’adversaire doit défendre à deux donc il y a moins de monde dans la surface, explique Guy Lacombe. C’est d’autant plus intéressant car il y a la même capacité de centrer après la passe que lors d’un corner direct avec en plus la possibilité de rentrer balle au pied. Avec des dribbleurs de la qualité de Di Maria, Lucas ou Ben Arfa, cela peut-être très intéressant. Emery est peut-être dans une phase d’expérimentation qui portera ses fruits plus tard. » Pour l’instant, le chantier est encore ouvert. »

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