[9/10] Revue de presse PSG : Verratti, Aurier, Armand, Gameiro, Krychowiak…

Vu et lu au sujet du PSG ce dimanche 9 octobre 2016 dans la presse nationale.

« Marco Verratti n’a pas été utilisé par Giampiero Ventura, jeudi soir contre l’Espagne (1-1), ni au coup d’envoi ni après la sortie sur blessure de Riccardo Montolivo, écrit L’Equipe. « Il va bien, il n’a aucun problème physique, a expliqué hier son agent Donato Di Campli, à Radio CRC. Il respecte chaque décision de l’entraîneur. » Le staff de l’équipe d’Italie devrait tout de même lui faire confiance pour le prochain rendez-vous, à en croire son représentant : « Après la blessure de Montolivo, Marco a été informé qu’il allait démarrer le match contre la Macédoine », mardi, pour le compte de la troisième journée des qualifications de la Coupe du monde 2018. »

Le quotidien sportif s’étonne de l’attitude de Serge Aurier, avec la Côte d’Ivoire face au Mali : « Bon dans le jeu, il s’est montré très nerveux : il a eu deux altercations avec ses équipiers. Et a fêté le deuxième but d’un geste pour le moins surprenant en mimant un égorgement devant un public en transe. Le Parisien, visiblement très remonté, tient vraiment à aller en Russie… »

La Pologne s’est imposée 3-2 face au Danemark hier. « Krychowiak, un peu borduré au PSG, a été plutôt discret et sobre. Il aura au moins gagné un peu de temps de jeu » commente le journal sportif.

Il est beaucoup question de Kevin Gameiro. Ainsi, dans Le Parisien, Sylvain Armand, son coéquipier au PSG de 2011 à 2013, évoque son passage au club : « Il s’est toujours bien entraîné, même quand ce n’était pas facile pour lui à Paris. Il possède l’instinct de buteur d’un Pauleta. Il ne se plaignait jamais de ne pas jouer. On lisait bien dans son comportement sa déception de ne pas être plus utilisé par l’entraîneur (Ancelotti). Il n’a jamais lâché. Là où d’autres auraient pu montrer des signes de faiblesse ou de colère par rapport au coach, il a tenu. Je ne suis pas du tout étonné de sa réussite en Espagne. Pas davantage de son match vendredi au Stade de France. Kevin fonctionne beaucoup à l’affection. Il aime être aimé. Et là, c’est ce qui se passe avec Griezmann et maintenant avec Deschamps. »

Et L’Equipe ajoute ce point :  » La volonté de Zlatan de ne surtout jamais jouer avec lui n’a alors rien arrangé, ce qui a arraché un rire à l’intéressé, hier en conférence de presse, à l’évocation de cette absence de relation entre les deux joueurs. Son départ était inéluctable malgré 19 buts (en L 1), quand même, en deux saisons. »

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