Revue de presse PSG : Icardi, Navas, Neymar, Pastore…

Vu et lu au sujet du PSG ce mardi 3 septembre 2019, le jour d’après mercato, dans la presse hexagonale.

« Keylor Navas puis Mauro Icardi. L’arrivée du gardien du Real Madrid puis celle de l’attaquant de l’Inter Milan ont rythmé les dernières heures du mercato du PSG, lundi », constate l’AFP. « Une bonne affaire pour un avant-centre de 26 ans, référencé en Europe et estimé à plus de 100M€ l’été dernier, réagit Sud-Ouest. Le PSG obtient un buteur pouvant suppléer voire succéder à Cavani, en fin de contrat en juin 2020. Une solution offensive en plus alors que Neymar manquera les trois premiers matchs de Ligue des Champions. »

L’Equipe

« Leo avait aussi réservé des surprises. En quelques heures, la saison parisienne a basculé, juge L’Equipe. Il faut totalement mesurer ce matin l’événement que peut représenter l’arrivée en prêt (payant de 5 M€, avec option d’achat estimée à quelque 70 M€) du buteur de l’Inter. Paris, privé pendant plusieurs semaines de Cavani et de Mbappé, s’est offert hier un attaquant axial de grande classe. Top 8 européen sans aucun doute. […] L’épouse de Leonardo est une proche de la très influente Wanda Nara, la femme et agente d’Icardi. Paris avait perdu Véronique Rabiot. Le PSG a retrouvé avec Wanda une femme de caractère, capable de placer ses interlocuteurs sous une pression intense, pour ne pas dire plus. Les dirigeants sont prévenus. Les défenseurs européens aussi. Dans une équipe nettement plus dominante que l’Inter, Icardi pourra se consacrer au territoire où il est le plus à l’aise : la surface de réparation. »

« La réintégration de Neymar sera l’une des clés de la saison du PSG, poursuit le quotidien sportif. La gestion des ego devant également. Les carences sur les côtés, elles, sont restées. Leonardo s’est penché sur le remplacement de Meunier ou Kurzawa, en fin de contrat en juin. Il n’a pas pu boucler l’opération. En deux mois et demi, le Brésilien n’a pas pu faire bouger toutes les lignes… »

A Madrid, Keylor Navas « a régulièrement démontré qu’il était un grand gardien, souligne L’Equipe. Zidane l’aurait installé au poste de titulaire si le Real n’avait pas misé 35M€ sur Courtois l’été dernier. Le Costaricain n’apparaît pas comme un adepte des grandes envolées. Il se montre simplement ferme, attentif, concentré et extrêmement explosif sur sa ligne. Ses réflexes félins et son agilité corporelle ont de quoi décourager les attaquants adverses. À cela s’ajoute un mental à toute épreuve. Sa principale faiblesse réside en revanche dans son manque d’assurance et de volonté dès qu’il s’agit d’intervenir dans les airs. »

Le Parisien

« Mauro Icardi, ses tatouages et sa réputation sulfureuse, ont débarqué dans la capitale pour une dernière opération très spectaculaire qui va donner à l’attaque du PSG un visage inédit et explosif, commente Le Parisien. L’avant-centre prêté au PSG n’a plus joué depuis le 26 mai sur fond de brouille avec ses dirigeants. L’Argentin doit rapidement retrouver la forme pour être compétitif en Ligue des Champions. Le PSG a déjà besoin de lui le 18 septembre pour la réception du Real où il tentera de faire oublier Mbappé et très certainement Cavani, tous deux actuellement blessés. A terme et à condition de retrouver tout son potentiel, Icardi pourrait incarner une concurrence et une alternative au Matador, en perte de vitesse depuis quelques mois. Mais, pour cela, il va falloir marquer, et vite. Le PSG compte déjà sur lui.« 

« C’est un pur buteur, analyse dans le quotidien francilien, Carlo Angioni, journaliste en charge des Nerazzurri pour La Gazzetta dello Sport. Un vrai animal et un des meilleurs finisseurs qui soient dans les 10 à 15 dernières mètres. Il peut marquer sur une action, et il sait utiliser ses deux pieds. En plus, malgré une taille moyenne, il est habile de la tête. »

France Football

Dans France Football, on retrouve Javier Pastore. « Je suis fier d’avoir été autant aimé par le public parisien, y déclare le Flaco. J’ai eu la chance d’arriver à Paris la première année et de me sentir un joueur très important. Il y avait Ménez, Nenê… On se sentait tous au même niveau, très importants. Et puis, il y a des joueurs comme Ibrahimovic, Cavani, Di Maria, Beckham qui sont arrivés. Des joueurs qui étaient déjà très haut. Donc moi, j’ai pris la place que l’équipe me donnait. Je ne pouvais pas prétendre être au niveau d’Ibrahimovic. Parce que c’était un joueur super important, grâce à son fort caractère et à ce qu’il apportait sur le terrain. C’était aux autres d’être intelligents et de se mettre au diapason. On a gagné des titres, on a pratiqué un beau jeu, l’un des meilleurs en Europe parfois, même si on n’a pas gagné la Ligue des champions. Moi, je le répète, j’ai pris la place que l’équipe me donnait. […] On me reproche de ne pas avoir eu le mental pour vouloir être le meilleur. Pour moi, ce n’est pas important. J’ai toujours donné le meilleur de moi-même. »

Articles similaires

Bouton retour en haut de la page