Revue de presse PSG : Histoire, Atalanta, 50 ans, Neymar, Mbappé

Vu et lu au sujet du PSG dans la presse hexagonale, ce mercredi 12 août 2020, jour de quart de finale de la Ligue des champions face à l’Atalanta Bergame. Le jour de ses 50 ans, le Paris Saint-Germain a rendez-vous avec son histoire, en ouverture du Final 8 de Lisbonne.

« Face à l’épatante Atalanta Bergame, ce soir, le PSG espère atteindre le dernier carré de la Ligue des champions et lancer ainsi une formidable aventure le jour de son cinquantenaire« , écrit La Dépêche du Midi.

« Le nouveau format de tournoi final, à huis clos et sous haute surveillance sanitaire, offre une opportunité unique au PSG et à ses propriétaires qataris de concrétiser huit saisons d’investissements faramineux. Et le PSG est à seulement trois matches de cette consécration historique, publie l’AFP. Dans un match couperet, Neymar sera enfin au rendez-vous de son ambition : hisser le PSG, qui l’a recruté contre la somme record de 222 M€ en 2017, sur le toit de l’Europe. […] Si Verratti est resté à Paris pour soigner son mollet, le stage de trois jours à Faro a permis à Mbappé de se remettre sur pied. Aucun risque ne sera pris sachant qu’en cas de qualification pour les demies (le 18 août), Mbappé aurait encore six jours supplémentaires. S’il en a la possibilité, Tuchel va davantage miser sur une entrée en jeu de son prodige français en cours de partie dans un système de jeu en 4-3-3 plus prudent, où Sarabia fait figure de favori pour accompagner Neymar et Icardi en attaque. Reste que la ligne offensive inquiète depuis la reprise, et qu’elle sera également privée de Di Maria, suspendu.« 

« Kylian Mbappé convalescent, Neymar sera l’atout n°1 du PSG contre l’Atalanta, après deux saisons où il a été blessé en phases finales », souligne Var Matin. « Premier à afficher les sorties entre coéquipiers sur ses réseaux sociaux, dont il est souvent à l’initiative, Neymar se sent enfin intégré dans la capitale, où l’arrivée de coéquipiers sud-américains comme Navas, Icardi ou Paredes a renforcé son influence dans le vestiaire. »

Le PSG a « une occasion en or », pense Le Parisien puisque Paris peut « atteindre le nirvana en seulement trois matches ». Même si « personne ne va mourir », disait la semaine dernière Leonardo en cas d’échec. Evidemment, il faut se garder de cette terminologie transposée à la chose sportive, surtout dans une époque « covidisée », mais il y aura comme un goût d’arrêt buffet si Paris sort. […] Si Neymar est un soleil, alors ça va darder ! Privé de son meilleur ami parisien sur les pelouses, un sublime complice nommé Mbappé, le n°10 incarne la force motrice de ce PSG décidé à passer de la parole aux actes. […] Le pacte doit désormais trouver sa traduction dans l’écrin vide du stade de la Luz. Qui deviendra celui de la lumière en cas de qualification, ou bien de la lose en cas d’élimination. […] Il n’y aura pas Verratti, arrivé hier à Lisbonne mais blessé aux mollets, pour s’opposer à cette pluie de jeu et Mbappé seulement pour quelques minutes. Le voir contre Bergame sonnerait presque comme une mauvaise nouvelle : c’est qu’il y aurait quelque chose à corriger, un score à inverser, un fil à renouer.« 

« Le PSG est né le 12 août 1970« , rappelle le journal francilien qui propose huit pages sur l’histoire Rouge & Bleu. « Sa création pour le moins ubuesque est le fruit d’une volonté politique conjuguée à une forte attente populaire. » Une attente qui sera très forte en ce mois d’août anniversaire.

« Le PSG a tout gagné en France, mais c’est à Lisbonne, face à l’Atalanta, le jour de ses 50  ans, que sa saison commence vraiment, tranche L’Equipe. « Avec ce type de tirage, c’est souvent la même histoire. Sur le coup, tout le monde est content et, un mois plus tard, tout le monde se méfie, parce que la pression devient vaguement négative. […] Il y a sans doute plus de talents à Paris, et plus de discipline collective à Bergame. Le club français a Neymar et, peut-être, Mbappé, quand l’italien a une équipe. L’affaire est sans doute un brin schématique, mais, rarement cette saison, et encore moins depuis la reprise, le PSG n’a fait naître un élan comparable à celui de l’Atalanta. Il n’est pas trop tard pourtant. Malgré tout, Paris demeure le favori. »

« La dernière séance du PSG n’a pas laissé d’indices sur les intentions de Tuchel mais les précédentes semblaient désigner Herrera comme le remplaçant de Verratti, lit-on également. Les deux jours d’avant, Tuchel avait souvent travaillé avec un milieu en losange : Marquinhos en sentinelle, Neymar en meneur de jeu, Gueye en relayeur gauche alors que le poste de relayeur droit se disputait entre Herrera et Paredes.« 

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