Revue de presse PSG

Vu et lu  au sujet du PSG dans la presse nationale ce lundi 13 février 2017.

« En attirant Julian Draxler cet hiver, le PSG a en fait hérité de deux recrues d’un coup, son arrivée a manifestement bousculé Angel Di Maria, remarque L’EquipeDans l’esprit du technicien basque, Draxler a un (gros) temps d’avance à gauche tandis que Lucas est devant Di Maria à droite. Le profil du Brésilien (vitesse, percussion, possibilité de déborder sur son bon pied pour servir Cavani) est plus complémentaire avec celui de l’Allemand et il n’a jamais été aussi décisif (14 buts, 7 passes décisives). En outre, il offre des garanties supérieures dans le replacement. Alors qu’il s’agit aussi de chercher à intimider l’adversaire, Emery pourrait être tenté de privilégier Di Maria. L’Argentin a l’avantage de bien connaître le Barça (16 affrontements : 5 victoires, 4 nuls et 7 défaites) et sa technique est un bagage indéniable. Autre argument, capital : sa forme actuelle. L’Argentin a des jambes de feu, fait à nouveau des différences et a retrouvé de l’influence sur le jeu parisien, lui dont l’entente avec Verratti est plus naturelle. L’équipe probable : Trapp – Aurier (ou Meunier) , Marquinhos, Thiago Silva (c) , Kurzawa – Verratti, Rabiot, Matuidi – Lucas (ou Di Maria), Cavani, Draxler. »

« Marco Verratti a une petite idée sur la question du jeu à déployer. Vendredi soir, dans zone mixte désertée, l’Italien, presque transformé en « Mister », a tracé la voie à suivre : « L’Atlético de Madrid, quand ils jouent contre Barcelone, ils jouent très bien. Ils jouent tout serré, ils ne cherchent pas à avoir beaucoup d’espaces. On doit faire comme eux, expliquait le milieu parisien. Il faudra trouver l’équilibre. Si tu joues plus haut, derrière, il y a beaucoup d’espaces. Je pense qu’on doit jouer très serrés, avec pas plus de quelques mètres entre la défense et l’attaque. » Un bloc compact ni trop haut, ni trop bas : voilà l’idée. »

« Malgré sa série d’invincibilité en cours (8 victoires et 3 nuls toutes compétitions confondues), Barcelone semble un peu moins injouable que par le passé, avance Le Parisien. « Le Barça est beaucoup moins armé en défense et au milieu, estime Raynald Denoueix. L’équipe est moins capable d’avoir la maîtrise face à la pression. » Tout va bien pour le trio Messi, Suarez, Neymar, en revanche. Le Barça a déjà marqué 107 buts cette saison. Le point commun des équipes qui perturbent la belle mécanique catalane est une stratégie agressive. Si les Parisiens cherchent une recette, ils peuvent se pencher sur leurs propres archives. La double confrontation d’avril 2013 face aux Catalans (2-2 ; 1-1) était proche de se transformer en exploit. D’abord grâce à un scénario fou au Parc des Princes avec trois buts lors des onze dernières. Ressorti en vie après cette première manche, le PSG se présente une
semaine après au Camp Nou dos au mur mais sûr de pouvoir réussir un coup. En alignant cette fois un milieu très joueur, Carlo Ancelotti donne une leçon tactique au Barça. »

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