La revue de presse PSG

Vu et lu au sujet du PSG ce samedi 15 avril 2017 dans la presse nationale.

« La course folle se poursuit : un doublé d’Angel Di Maria a offert au PSG à Angers (2-0) un 14e match sans défaite et une 6e victoire consécutive pour continuer à mettre la pression sur le leader Monaco, publie l’AFPUne prestation sans grand éclat mais solide et surtout suffisante pour poursuivre le train d’enfer mené par Parisiens et Monégasques lors de la phase retour, et que le PSG, qui n’a plus la Ligue des champions pour lui pomper de l’énergie, semble prêt à tenir jusqu’au bout. »

« De son déplacement à Angers, le PSG pourrait retenir son réalisme, il  retiendra surtout les trois points, écrit L’Equipe. Les champions en titre imposent une pression et maintiennent un rythme qui interdit au leader de L1 de ralentir le sien. D’un match à l’autre, Paris ne séduit pas toujours. Mais il ne renonce jamais et, même lorsqu’il est dans les cordes, comme le SCO a pu le bloquer hier soir pendant une vingtaine de minutes au coeur de la seconde période, le PSG s’appuie sur des joueurs capables de lui redonner de l’oxygène. Hier, il s’agissait d’Angel Di Maria, auteur d’un doublé (28e, 84e), et de Kevin Trapp, qui a sorti les arrêts qu’il fallait, au moment où il le fallait. Comme Monaco une semaine plus tôt, le PSG a souffert au stade Raymond-Kopa pour arracher sa 23e victoire de la saison en L1. »

Les notes de L’Equipe : Trapp 8 / Aurier 6 / Marquinhos 5 / Kimpembe 5 / Maxwell 4 / Verratti 7 / Rabiot 5 / Matuidi 4 / Di Maria 7 / Cavani 5 / Pastore 4

Les notes du Parisien : Trapp 7.5 / Aurier 6 / Marquinhos 5 / Kimpembe 6 / Maxwell 4.5 / Verratti 6 / Rabiot 5.5 / Matuidi 6 / Di Maria 7.5 / Cavani 5 / Pastore 4.5

« Ce statut de co-leader de la Ligue 1 est un symbole fort.  Incertaine et passionnante, cette fin de saison basculera probablement sur un détail microscopique. Une inspiration d’attaquant, un arrêt de gardien, une erreur individuelle ou une décision arbitrale ? Hier soir, tout ces ingrédients étaient réunis, affirme Le ParisienDans la semaine, l’entraîneur du SCO avait joliment synthétisé la méthode parisienne, composée selon lui de trois séquences. Une longue phase d’approche d’abord pour faire courir l’adversaire et l’épuiser, suivie d’un but en guise de première blessure et enfin la mise à mort. Cette allégorie d’inspiration tauromachique s’est encore vérifiée hier soir. […] Paris s’en est remis à l’intransigeance de Trapp et à l’habileté de Di Maria. […] On connaissait le Di Maria passeur, on l’avait vu se muer en finisseur comme hier sur son second but. On savait moins qu’il était aussi un redoutable tireur de coups francs. Hier, son petit bijou ne doit rien au hasard. L’ancien Madrilène avait déjà frappé de la sorte face à Bordeaux puis contre Barcelone en Ligue des Champions, pétrifiant Ter Stegen. Cette capacité à inverser le cours d’un match sur un coup de pied arrêté est précieuse. »

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