La revue de presse PSG : Stambouli, Weah, Bechkoura, Youn…

Vu et lu dans la presse hexagonale ce samedi 28 mai 2016 au sujet du PSG.

« George Weah reste une voix qui compte au PSG. Le Libérien jouit d’une relation privilégiée auprès de Nasser al-Khelaïfi. Il y a une quinzaine de jours, il a ainsi plaidé auprès du président parisien la cause de David Bechkoura, rapporte L’EquipeL’entraîneur des U17 du PSG s’est vu signifier par le directeur sportif adjoint Olivier Létang son prochain départ malgré de bons résultats (son équipe affronte Troyes en demi-finales du Championnat de France à 14 h 30). Bechkoura est sans nouvelles de la direction parisienne depuis son entretien avec Létang, il y a maintenant près d’un mois. Il attend une réponse afin de ne pas se retrouver sans club pour la saison prochaine. »

« Mickaël Youn, coupable d’avoir porté un fumigène lors de la finale de la Coupe de France, s’est rendu mardi dernier devant les policiers en charge notamment des questions de supporters. L’acteur a reconnu les faits. Installé en loges, il a dit être descendu dans le virage des fans parisiens à leur demande pour faire des selfies avant de prendre un fumigène qui lui a été tendu par un individu non identifié par la vidéo. Les stadiers sont alors intervenus pour sortir l’humoriste de la tribune, lit-on par ailleurs. Youn doit passer devant un délégué du procureur où il devrait écoper d’une amende d’environ 1 000 euros. S’il n’accepte pas cette sanction, son cas sera jugé par le tribunal correctionnel de Bobigny. Par ailleurs, une interdiction de stade d’un an a été demandée à son encontre. »

Le Parisien propose lui un intéressant entretien avec Benjamin Stambouli : « Il y a la satisfaction d’avoir pu intégrer une équipe de ce niveau-là avec les attentes qu’on connaît tous, et d’avoir obtenu pas mal de temps de jeu, avec des bons matchs à la clé, commente le joueur. J’ai eu des difficultés, je suis réaliste. D’abord, j’ai dû affronter les sifflets du public au Parc des Princes. Je marche à l’affectif et ça a été difficile à vivre. J’ai essayé de renverser la situation pour montrer que je suis quelqu’un de bien. A partir de là, j’ai pu reprendre confiance et cela m’a fait grandir. La deuxième chose, c’est qu’il fallait que je comprenne comment joue l’équipe, la manière dont elle défend et attaque. (…) en fin de saison, j’ai cherché à jouer mon jeu et pas celui que j’imaginais qu’on voulait que je joue. A 100 % de mes moyens, je suis plus régulier en tant que sentinelle car je connais mieux le poste. Je connais moins le poste de relayeur, donc j’ai alterné le bon et le moins bon. Mon côté offensif est perfectible et il faut trouver des automatismes avec les attaquants. Il y a des joueurs comme Pastore qui ont une vraie connaissance du poste, la technique. Pour moi, c’est plus compliqué. (…) J’espère continuer à progresser, et apporter encore plus à cette équipe. »

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