Ménès : « Si Di Maria avait trompé Mandanda, ça aurait été un déluge »

L’OM n’a pas pris de point face au PSG, mais il a des satisfactions. D’autant plus qu’il est passé à côté d’un gouffre, l’occasion du 0-2 non transformée par Angel Di Maria, rappelle Pierre Ménès.

« Les dix premières minutes ont été cauchemardesques pour l’OM. Zlatan a ouvert le score très rapidement sur un bon centre de Maxwell. Derrière, Di Maria manque une énorme occasion en croisant trop sa frappe du gauche. C’est l’un des tournants du match car si l’Argentin avait trompé Mandanda, ça aurait été un déluge. Le grand mérite des Marseillais a été de réussir à inverser la tendance, écrit le journaliste sur son blog. Si les hommes de Michel ont eu une possession de balle supérieure à celle du PSG pendant de longues minutes, ils ont, comme bien d’autres clubs de Ligue 1 avant eux, fini par céder. C’est trop dur physiquement de tenir toute la rencontre. À l’heure de jeu, il y a eu une cassure et les Parisiens ont remis le pied sur le ballon. La classe des joueurs parisiens a ensuite fait la différence et notamment celle d’Ibra, auteur une nouvelle fois d’un but et d’une passe décisive pour Angel Di Maria. Formidable pour un joueur totalement cramé. »

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