Revue de presse PSG

Vu et lu au sujet du PSG dans la presse nationale ce lundi 20 mars 2017.

« On peut dire que le PSG a rassuré hier. Il reste à trois points au classement de Monaco et c’est bien le principal, écrit L’Equipe. Hier, on a davantage assisté à la performance d’une équipe convalescente, même si elle a su remonter au score pour l’emporter, qu’à celle de l’ogre qui archi-dominait le football français la saison passée. Le PSG peut aussi se satisfaire de l’accueil que lui ont réservé ses supporters. Sous l’impulsion du Collectif Ultras Paris, bien briefé par la direction parisienne, le Parc des Princes n’a pas manifesté sa déception post Barcelone. »

« El Flaco revit en ce début d’année 2017. En deux mois et demi, il a déjà plus joué que pendant toute la première partie de saison (8 apparitions contre 7 entre août et décembre), remarque le journal sportif. Au sein d’un collectif visiblement crispé, dix jours après le cauchemar de Barcelone (1-6), Pastore a d’emblée pris la direction des opérations. Omniprésent dans l’animation, Verratti étant plus occupé à des tâches défensives. Cela ravivait forcément les regrets de ne pas l’avoir aperçu sur la pelouse du Camp Nou… »

Les notes de L’Equipe : Trapp : 6 / Aurier : 6 / Marquinhos : 6 / Thiago Silva : 6 / Maxwell : 4 / Verratti : 6 / Di Maria : 5 / Pastore : 8 / Draxler : 6 / Cavani : 5

Les notes du Parisien : Trapp : 6.5 / Aurier : 7 / Marquinhos : 7 / Thiago Silva : 6 / Maxwell : 6 / Verratti : 6.5 / Di Maria : 7 / Pastore : 8 / Draxler : 7 / Cavani :6

« Dans un Parc des Princes au soutien toute la soirée, même lors d’une entame difficile, les Parisiens ont joliment battu les Lyonnais, juge Le Parisien. Le PSG continue de se donner toutes les chances de devenir à nouveau champion en franchissant Lyon, un quart de finaliste européen. Cela dépend de lui, évidemment, puisqu’il vaut mieux toujours gagner mais pas que. Monaco colle son tarif maison partout, même à Caen, qu’il a encore laminé hier (3-0). La Ligue des champions constitue son meilleur allié dans l’affaire. […] Mental ? Ok ! Paris grandit un peu plus psychologiquement. Etat d’esprit ? Aurait pu mieux faire. Le PSG a commencé dans la confusion. Stigmates de Barcelone ou gros pressing de Lyon ? Paris aura eu la bonne attitude tout le long, sauf au début. On a beau entendre ici ou là que la saison est terminée depuis Barcelone, le spectre de tout perdre ajouterait de la catastrophe à la catastrophe. Un triplé national reste magnifique, encore plus une année où l’adversité s’organise et un phénomène surgit avec Mbappé. »

« Fini les mollets, place à la haute volée. Enfin débarrassé de ses problèmes physiques, Javier Pastore est redevenu le joueur qui avait éclaboussé de sa classe mondiale la saison 2014-2015 sous le maillot du PSG. C’était il y a deux ans, une éternité en football qui s’entiche de nouveaux talents tous les quatre matins, ajoute le quotidien francilien. De quoi certainement nourrir les regrets de son entraîneur. Car Unai Emery a pu songer qu’en titularisant Pastore face à Barcelone au Camp Nou, au lieu de le laisser sur le banc, l’issue du match aurait peut-être été différente. »

« Les Parisiens peuvent encore espérer réussir le même quadruplé national (Ligue 1, Coupe de France, Coupe de la Ligue, Trophée des champions) que les deux saisons précédentes, constate Le Progrès. Ce qui, malgré le slogan des Ultras parisiens (« dans le malheur ou dans la gloire, fidèles à nos couleurs ») ne fera toutefois pas oublier les illusions perdues en Ligue des champions. »

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