Prêcheur peste contre la première mi-temps complètement raté
Hier soir, les Féminines du PSG se sont inclinées contre l’Ajax Amsterdam en UEFA Women’s Champions League. Jocelyn Prêcheur espère une réaction rapide de son équipe.
Les Féminines du PSG entamaient leur phase de poules de l’UEFA Women’s Champions League avec un déplacement aux Pays-Bas pour défier l’Ajax Amsterdam. Dans un match où elles ont eu des occasions, mais où elles ont manqué de réalisme, les Parisiennes se sont inclinées (2-0) face aux néerlandaises. Un mauvais résultat dans un groupe relevé avec également le Bayern Munich et l’AS Roma, deux équipes qui ont été championnes la saison dernière. À l’issue de ce revers, Jocelyn Prêcheur, le coach parisien, n’a pas caché sa déception.
« J’espère que l’on va être capable de réagir au cours des prochains matches »
« Il y a beaucoup de déception, notamment en ce qui concerne la première mi-temps. Que ce soit tactiquement ou mentalement, on n’a pas du tout suivi le plan de jeu durant cette période. On a laissé cette équipe de l’Ajax jouer. On sait qu’elles peuvent être très dangereuses et c’est ce qu’il s’est passé, lance le coach parisien pour PSG TV. Il va falloir bien analyser pourquoi est-ce que nous ne sommes pas bien rentrés dans ce match, puisque d’habitude c’est quelque chose que l’on fait plutôt bien. Là, on s’est complètement manqué, même si on a bien réagi durant la seconde période.«
A voir aussi : Féminines – Le calendrier des Parisiennes en UWCL
« En deuxième période, au moins on a joué, on est allé les chercher haut »
Le coach du PSG a tout de même salué la bonne deuxième période de son équipe. « On a joué plus haut et on a été beaucoup plus entreprenant, avec un type de visage que je préfère voir pour mon équipe. […] J’espère que l’on va être capable de réagir au cours des prochains matches de la même façon que nous avons réagi à la mi-temps. En deuxième période, au moins on a joué, on est allé les chercher haut, on a empêché cette charnière centrale de développer son jeu. Du coup, on a joué dans leur camp, là où on aime bien jouer et on a pu se créer des occasions. On s’est beaucoup plus libéré puisque l’on n’avait plus le choix, il fallait prendre des risques. Il fallait imposer notre jeu et surtout gagner nos duels. Sur ce point-là, l’Ajax était beaucoup plus présent que nous en première période.«