PSG / Liverpool, un affrontement rare dans le football européen

Demain soir (21 heures, Canal Plus), le PSG affronte Liverpool en huitième de finale aller de la Ligue des champions. Ce ne sera que le cinquième match entre les deux équipes.

Si le PSG a très souvent affronté le FC Barcelone, le Real Madrid ou bien encore le Bayern Munich en Coupe d’Europe dans son histoire, ce n’est pas le cas de son adversaire en huitième de finale de l’édition 2024-2025, Liverpool. En effet, les deux équipes se sont affrontées à seulement quatre reprises dans leur histoire, lors de la phase de poules de la saison 2018-2019 et en demi-finale de la Coupe des Coupes lors de la saison 1996-1997. L’Equipe a retrouvé certains des joueurs parisiens qui ont participé à cette double confrontation victorieuse du PSG (victoire 3-0 à l’aller et défaite 2-0 au retour), qui ne réalisera pas le doublé, battu en finale par le FC Barcelone (1-0). 

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La qualification en finale de Coupe des Coupes avec un match « parfait » à l’aller

Jimmy Algerino explique que le PSG avait réussi « un match aller parfait » au Parc des Princes (3-0). Président des Rouge & Bleu à l’époque, Michel Denisot indique que cette « double confrontation reste comme l’un des meilleurs souvenirs de ma carrière de dirigeantLiverpool, c’était quelque chose, mais nous en étions à notre cinquième demi-finale européenne de rang, on avait gagné la Coupe des Coupes l’année précédente. » Blessé lors du match aller, Didier Domi avait fait le déplacement à Anfield, mais il a assisté à la rencontre des tribunes. Et il a été impressionné par l’ambiance. « J’étais dans la peau d’un spectateur, avec la tension et l’émotion qui vont avec. C’est la meilleure ambiance de ma carrière, là j’ai compris. C’était extraordinaire. » Jérôme Leroy a également été sous le charme des supporters anglais. « L’ambiance à Anfield, je n’avais jamais vu ça, et j’avais joué en Grèce ou à Galatasaray. J’en avais des frissons. Le public ne chante pas, c’est une choraleAvant d’entrer sur la pelouse, on était dans un couloir étroit et au-dessus, il y avait l’écusson du club en métal et chaque joueur de Liverpool qui passait mettait un grand coup dedans, ça résonnait.« 

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