Rabesandratana : « Il y a deux, trois équipes light, c’est elles que je préférerais prendre »
Ce vendredi midi (RMC Sport 1), le PSG va connaitre son potentiel adversaire pour les quarts de finale de la Ligue des champions et le reste du tableau final. Un tirage très attendu. Eric Rabesandratana, défenseur du PSG de 1997 à 2001, devenu consultant France Bleu Paris et Canal+ Afrique, estime que le fait de ne pas avoir repris le championnat ne sera pas forcément un handicap pour les Rouge & Bleu.
« Finalement, ça permet de faire une préparation normale par rapport aux autres qui auront fait une fin de championnat, plus une coupure, plus une reprise. C’est un peu bizarre », explique dans Le Parisien l’ancien capitaine du PSG pour qui on ne peut pas prévenir les pépins physiques. « Le meilleur moyen de ne pas se blesser c’est de jouer à fond.«
Quoi qu’il en soit, pour Eric Rabesandratana, on ne peut pas faire du PSG un favori dans la compétition continentale. « Non, ce ne serait pas juste. S’ils avaient l’habitude de jouer les quarts de finale tous les ans, je dirais ok. C’est un peu l’apparence qui donne cette impression. Mais ce n’est pas la réalité. Donc ils doivent arriver comme un challenger en croyant en leurs possibilités parce qu’ils en ont. Quel serait un bon tirage pour le PSG ? Il y a quand même deux, trois équipes light – Atalanta, Atlético et Leipzig – c’est elles que je préférerais prendre. Maintenant, je ne dis pas que ça sera facile parce que l’Atalanta n’a l’air de rien mais elle est bonne et qu’un club allemand est toujours délicat à jouer… Mais franchement ça reste les trois les plus intéressantes. De toute façon, ça n’enlèvera rien au fait que tu devras jouer à fond et surtout ne pas penser que ce sera plus facile. Ce serait le piège.«