Revue de presse PSG

Vu et lu au sujet du PSG ce mercredi 15 février 2017 dans la presse nationale.

« Le Parc des Princes a tout vu et même ce qu’il n’aurait jamais osé imaginer dans ses rêves les plus dingues : Kimpembe qui éteint Suarez, Rabiot qui marche sur Messi pendant l’intégralité d’un match, Nkunku qui s’offre une roulette devant Busquets cinq minutes après son entrée en jeu, Pastore qui rejoue au foot sans se blesser et surtout, le Paris-Saint-Germain qui gifle le Barcelone de la MSN à quatre reprises et lui barre quasiment la route des quarts de finale de la Ligue des champions, ce qui n’est plus arrivé depuis 2007, écrit L’EquipeCe qu’ils ont réalisé hier soir est simplement énorme, incroyable, faramineux, étourdissant et un poil émouvant, aussi. Parce que cette équipe, privée de ses deux Thiago (Silva et Motta), présentait une moyenne d’âge de 25 ans et qu’elle a joué sans complexe, avec agressivité, humilité, justesse technique et discipline tactique. Emery a su construire un véritable collectif solidaire et déterminé. Le PSG a rempli tous ses objectifs de la soirée, en marquant dans des proportions inattendues, en n’encaissant aucun but à domicile, et il a même fait plus que cela, dominant dans les grandes largeurs une équipe catalane ».

Les notes de L’Equipe : Trapp : 8 / Meunier : 7 / Marquinhos : 7 / Kimpembe : 8 / Kurzawa : 6 / Verratti : 8 / Rabiot : 9 / Matuidi : 7 / Di Maria : 9 / Cavani : 8 / Draxler : 8

Les notes du Parisien : Trapp : 7 / Meunier : 8.5 / Marquinhos : 7.5 / Kimpembe : 8 / Kurzawa : 6.5 / Verratti : 8 / Rabiot : 9 / Matuidi : 8 / Di Maria : 9 / Cavani : 8 / Draxler : 8.5

« C’est comme un rêve qui se serait réalisé, un cadeau de Noël délivré en retard, une immense offrande qui vient se ranger dans la légende d’un club qui n’est pas né avec le Qatar mais qui tient son plus beau match avant ou après la qualification 2-2 à dix contre onze et lors de la prolongation contre Chelsea en 8es de finale en 2015, estime Le Parisien. On connaissait la MSN (Messi, Suarez, Neymar), on a découvert le CDD — Cavani, Draxler, Di Maria — , nouveau trio enchanteur du football d’ici. Sans un Ter Stegen au niveau, le seul au Barça, la valise retour aurait sonné aux portiques de l’aéroport, considérablement alourdie. Ce matin, Barcelone a disparu, au moins statistiquement : 100 % des équipes ayant gagné la première manche 4-0 se sont qualifiées. Cette équipe s’est révélée extraordinaire le jour où ça comptait. Unai Emery a basculé du côté des grands entraîneurs dont tous les choix se sont révélés payants et archi-justes, tactiquement ou humainement. »

« Préparation mentale et analyse tactique en profondeur des forces de l’adversaire ? Ce sont deux des principaux chevaux de bataille d’Unai Emery, qui à défaut d’avoir imposé «son» 4-2-3-1 fétiche, a donné les clés et sa patte au PSG pour réaliser ce chef d’œuvre contre le Barça, lit-on dans Le Figaro. Il fallait presser haut ces artistes barcelonais, les sortir de leur zone de confiance et vite se projeter vers l’avant. Ce que les Parisiens ont fait avec une application étonnante. Un véritable rouleau compresseur. Et ça, c’est la patte EmeryUne belle revanche pour l’ancien coach de Valence et Séville, qui n’a pas été épargné par la critique et les doutes depuis son arrivée sur les bords de la Seine. »

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