Revue de presse PSG
Vu et lu au sujet du PSG dans la presse nationale ce lundi 27 février 2017.
« Il faudra du temps à « l’OM Champions Project » pour espérer concurrencer le Paris de QSI, observe L’Equipe. Hier soir, en tout cas, Paris était injouable pour l’OM, au-dessus dans tous les compartiments du jeu, et a vite dissipé le moindre suspense dans une impressionnante démonstration technique et tactique. […] Unai Emery a surpris par ses décisions, en privilégiant Lucas et Pastore au détriment de Di Maria et Draxler, jugé trop juste physiquement après une semaine hachée par les absences (fatigue). Au final, ils furent gagnants : Lucas, s’il n’a pas fait toujours les bons choix, a fait vivre un calvaire absolu à Evra en première période. Par sa vitesse et ses crochets courts notamment. Pastore a joué «à la Draxler». Pas en vrai ailier de débordement. […] Paris a mis un engagement intense dès les premières minutes. Avec une récupération du ballon haute grâce à l’activité du trio Rabiot-Verratti-Matuidi et des joueurs de la qualité de Pastore ou Cavani, Paris a régalé. Mais le travail d’Emery fut aussi visible sur coups de pied arrêtés. On ne peut imaginer que le but de Marquinhos (6e) ne soit pas une combinaison travaillée. »
Les notes de L’Equipe : Trapp : 6 / Meunier : 7 / Marquinhos : 7 / Thiago Silva : 7 / Kurzawa : 7 / Verratti : 8 / Rabiot : 7 / Matuidi : 7 / Lucas : 6 / Cavani : 7 / Pastore : 7 / Unai Emery : 8
Les notes du Parisien : Trapp : 6 / Meunier : 7 / Marquinhos : 7 / Thiago Silva : 7 / Kurzawa : 7 / Verratti : 8 / Rabiot : 7 / Matuidi : 7 / Lucas : 6.5 / Cavani : 6.5 / Pastore : 7
« Ultra-dominateur, le PSG a signé un succès inédit à Marseille, constate Le Parisien. Il reste onze journées et Paris a été clair, dimanche soir : il n’est pas prêt à abandonner le titre qui lui appartient depuis quatre saisons. En prime, il a offert à ses supporters restés à Paris le plus large succès dans un clasicoà l’extérieur de l’histoire (5-1). Le PSG a donné une froide leçon. Comme l’an dernier, il a marqué sur sa première action à Marseille, ce qui rend les choses beaucoup plus faciles. Dix minutes plus tard, le match était déjà plié. Dans cette partition, Marco Verratti a encore illuminé le milieu de terrain. Les dirigeants marseillais peuvent mesurer ce qui les sépare du rival qu’ils prétendent concurrencer de nouveau à l’avenir. […] Voilà cinq mois que Javier Pastore n’avait pas eu l’honneur d’une titularisation. Son génie s’exprima dès le quart d’heure de jeu d’une simple touche de balle, douce comme une caresse de l’intérieur du pied droit à l’adresse d’Edinson Cavani pour le deuxième but parisien. On appelle cela une passe aveugle. En vérité, Flaco avait tout vu depuis le début. C’était beau et simple à la fois. Opposé au Japonais Sakai, un garde du corps assez peu envahissant, il réussissait régulièrement à déborder et centrer. Avant de quitter la pelouse, Pastore gratifiait enfin le Vélodrome d’un coup du foulard. Une flamboyance qui entraînait le troisième but parisien. »