Revue de presse PSG : Messi & ultras

Vu et lu au sujet du PSG dans la presse nationale ce jeudi 19 janvier 2017.

« Dans l’absolu, on peut imaginer que les voyants sont au vert pour Paris s’il souhaite se lancer dans une opération Messi, lance L’Equipe. Elle supposerait de payer les 250M€ de la clause libératoire, ce qui paraît dans les cordes de l’actionnaire qatarien, et de verser un salaire annuel brut d’au moins 50M€, ce qui ne devrait pas effrayer ce même richissime propriétaire. Seulement, l’absolu a désormais sa limite dans le football européen : le fair-play financier. De plus, à la différence du Brésilien, « la Puce » ne semble pas très attirée par la Ligue 1. En 2014, lorsque Nasser al-Khelaïfi avait rencontré le père du joueur, Jorge Messi, le président parisien n’avait pas voulu formuler une offre de transfert à Barcelone parce que le club catalan était sponsorisé par Qatar Airways… Il ne voulait pas « agresser » le Barça. Il avait alors soumis l’idée suivante : que Messi contacte officiellement Paris pour lui faire part de son envie de venir. « Ça, ça me paraît impossible », avait répondu un proche du dossier. Pas évident que trois ans plus tard l’état d’esprit de l’Argentin ait changé. »

« Depuis le 2 octobre 2016, et leur retour au Parc des Princes, les ultras font de nouveau partie du paysage du PSG, écrit Le Parisien. A l’heure du premier bilan, le club et les fans se montrent très satisfaits. Les pouvoirs publics restent sur leurs gardes. On compte désormais 300 membres du CUP autorisés à rejoindre 200 autres encartés déjà abonnés au Parc pour former un kop situé à l’étage de la tribune Auteuil. Ce noyau entraîne dans son sillage près de 5000 personnes qui ont réveillé le stade. […] Le déplacement à Rennes samedi dernier a donné lieu à un premier accroc. Deux des quatre bus affrétés par le CUP ont croisé, sur une aire d’autoroute, un bus d’un groupe affilié au virage Boulogne voyageant hors du déplacement officiel. Une bagarre a éclaté après des provocations et des chants racistes, selon le CUP. « Au moindre pépin, on exclura le fautif, prévient-on au PSG. Et s’il y a des débordements collectifs, on arrêtera tout. » Le ministère de l’Intérieur et la préfecture de police de Paris estiment que l’incident pourrait n’être qu’un prélude au retour des violences. […] Du côté des supporters, on regrette l’absence d’un référent au sein du club, ce qui faciliterait les échanges. Un point de vue partagé par les dirigeants qui pourraient nommer un responsable dans les prochains mois ».

Articles similaires

Bouton retour en haut de la page