Rien ne pourra sauver Unai Emery avance Bruno Roger-Petit

La seule façon de passer à autre chose après le 6-1 du Camp Nou, c’est de montrer la porte à Unai Emery. Bruno Roger-Petit n’en démord pas, même après la belle victoire du PSG contre Monaco (4-1) samedi soir.

« Donc, la volonté. La seule volonté. Cette volonté qui avait tant fait défaut à Barcelone était présente à Lyon. Pourquoi ici et pas là ? C’est aux joueurs qu’il faut le demander. Eux seuls savent pourquoi ils sont passés à côté de leur histoire au Camp Nou. Et la victoire en Coupe de la Ligue, pour aussi belle qu’elle soit, n’y change rien. On le dit et on le répète, ce qui s’est passé ce soir là, quand le PSG a encaissé un 6-1 jamais vu dans l’histoire de la compétition, n’est effaçable que dans la mesure où sera effacé celui qui en porte la responsabilité. C’est peut être injuste, mais c’est une réalité politique, écrit le journaliste sur son blog Le FigaroQuelle est la part de l’entraîneur dans l’état d’esprit d’une équipe ? Vaste sujet de réflexion. Dans quelle mesure Emery a-t-il raté quelque chose à Barcelone et réussi autre chose à Lyon ? De quelle façon les joueurs du PSG sont-ils sensibles à sa présence ? Quelle est la réalité de son influence psychologique ? De loin, pour autant que l’on puisse en juger, il est difficile de le savoir. Restons modestes. En revanche, personne ne pourra nier qu’il est inquiétant qu’une équipe s’affiche de manière aussi dysthymique depuis le début de la saison, tantôt irrésistible, tantôt pathétique. Et ça, c’est le problème de l’entraîneur. Du point de vue de l’actionnaire, qui est exigeant, la Coupe de la Ligue, c’est le service minimum, mais cela n’efface pas le 6-1 le plus humiliant de l’histoire du football. Du reste, à peine le match terminé, la rumeur Wenger au PSG a repris de plus belle… CQFD ».

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