Roger-Petit : « Draxler impulse ce supplément d’âme qu’Emery n’est jamais parvenu à offrir »

Après « Le cas Ben Arfa, symbole du gâchis organisé par Emery au PSG », après « Pourquoi Emery fait peur face au succès du trio Ben Arfa-Draxler-Rabiot », après « Quand Thiago Silva défend Emery et révèle sans le vouloir les faiblesses du PSG », Bruno Roger-Petit propose ce dimanche sur son blog Sport 24 : « Quand Emery ne rend pas à Draxler l’hommage qu’il mérite… ». On a bien compris que le journaliste écrivait à charge par rapport à l’entraîneur du PSG.

« Draxler impulse ce supplément d’âme qu’Emery n’est jamais réellement parvenu à offrir à son équipe. Il tire tout le monde vers le haut. Entraîne. Mobilise. Galvanise. Il est la pierre qui manquait à l’édifice parisien, trop dépendant de Cavani, soumis aux errements de Di Maria ou Lucas… Draxler, c’est tout à la fois l’homme qui vaut trois milliards et l’homme qui tombe à pic pour accorder à l’entraîneur du PSG le temps qui semblait lui manquer à la fin du mois de décembre, quand son équipe peinait derrière Nice et Monaco, lit-on. De ce point de vue, Emery étant Emery, le propos tenu à l’endroit de son buteur du jour, à la fin du match, parait relever du service minimum : « Draxler fait du bon travail. Il a marqué un beau but. Son adaptation est bonne. » Ah bon ? Rien de plus ? Pas très enthousiaste l’entraîneur, confronté à l’intelligence, la puissance et l’intelligence de son joueur. Comme si, une fois de plus, l’entraîneur parisien se montrait déçu de ce que tout compte fait, le footballeur appartient d’abord au footballeur… »

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