Leonardo : « Le PSG n’aura jamais un entraîneur qui sera seul »

Le PSG a parfaitement parachevé la 18ème journée de Ligue 1 avec une victoire éclatante face à Saint-Etienne (4-0). Dans un 4-4-2 face à un adversaire réduit à 10, les Parisiens ont enchaîné les occasions et les buts. En zone presse, le directeur sportif parisien – Leonardo – est revenu sur plusieurs sujets dont la une de L’Equipe faisait référence à une « fracture » entre Thomas Tuchel et certains joueurs du vestiaire. L’ancien Parisien s’est également exprimé sur la Ligue des champions et les situations contractuelles de Tanguy Kouassi et Adil Aouchiche, dans des propos recueillis par Goal.com.

Une fracture entre Tuchel et une partie du vestiaire ?

« Honnêtement, je vois des choses très positives. Ce matin, j’ai lu sur la première page de L’Equipe (voir ici) que l’entraîneur est tout seul. Honnêtement, je crois que c’est hors du moment. Je pense que c’est un moment très positif et il y a beaucoup de choses qui vont arriver. Après, il y a des choses qu’on doit régler, bien sûr. Mais le PSG n’aura jamais un entraîneur qui sera seul, c’est un club qui sera toujours dans le soutien de l’entraîneur. Le jour où il sera seul, il ne sera plus là (…) Aujourd’hui, il y a des choses positives et on voit qu’il y a de la marge pour s’améliorer. »

Favori en Ligue des champions ?

« On l’a dit depuis le début. On n’est pas partie pour gagner la Champions League, ça c’est évident. Ce n’est pas parce qu’on a peur de le dire (…) Après je pense que toutes les équipes qui vont jouer contre nous auront peur aussi. Je pense que personne ne sera content d’avoir le PSG. »

Les situations contractuelles de Kouassi et Aouchiche

« En cinq mois, on a réussi à faire jouer deux petits jeunes, Aouchiche et Kouassi, ça fait plaisir. Honnêtement, je pense que ce sont deux joueurs qui vont compléter l’effectif avec les qualités qu’ils ont. Ils vont compléter encore plus ce groupe-là. Toujours pas de contrat professionnel pour ces deux jeunes, une inquiétude ? Ça c’est un système que vous connaissez comme moi. Avec un jeune tu peux faire trois ans de contrat. Après on n’a pas la politique de dire « si tu n’as pas de contrat, tu ne joues pas ». Je pense que nous, on fait tout. On va voir qui a envie de rester ou non (…) Dans ces deux cas-là, je pense qu’ils ont envie de rester. Donc nous verrons si nous parviendrons à un accord« 

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