Revue de presse PSG : Lyon, Ben Arfa, NAK, Aulas…

Vu et lu au sujet du PSG dans la presse française ce dimanche 27 novembre 2016.

« C’est un match important mais pas couperet, assure Bruno Genesio à propos de l’affiche qui va opposer ce dimanche soir l’OL au PSG. Avec sept points de retard sur le club parisien, 3e, et 10 ce matin sur le duo de leaders composé de Monaco et de Nice, l’OL n’a néanmoins pas trop intérêt à lambiner s’il veut garder encore un (mince) espoir de bousculer l’ordre établi en tête de la Ligue 1, commente Le Progrès. Il est vrai que par le passé le club lyonnais a su inverser des tendances a priori compromises. On se souvient que l’OL avait justement fait tomber l’indestructible et omnipotent leader parisien pour la première fois la saison dernière (2-1, le 28 février). Dans ce nouveau combat que les coéquipiers de Gonalons espèrent mener droit dans les yeux, face à un PSG d’Emery peut-être moins dominateur que son devancier, un succès pourrait comme il y a neuf mois servir de match référence et de déclic dans la reconquête espérée. »

« Lyon-PSG n’est jamais décevant, promet L’EquipeSans Pastore, Di Maria, Kurzawa ni Rabiot, soit à peu près trois titulaires, Unai Emery n’aura pas tout à fait les mêmes solutions, ni la même marge. Malgré ces forfaits, le PSG semble conserver une certaine marge sur son adversaire du jour, dont la convalescence n’est pas achevée. À Lyon, la fièvre est tombée, mais les jambes sont encore molles. »

« Après avoir longtemps tenté de conclure le retour d’Hatem Ben Arfa, l’OL a assisté, de manière impuissante, à sa signature chez son rival parisien, se souvient le quotidien sportif. Ben Arfa sait qu’il sera probablement confronté à des réactions hostiles du public lyonnais. Une rancœur déjà manifestée par les supporters de l’OL présents à l’occasion du Trophée des champions. […] Dans le clan de HBA, personne n’était véritablement convaincu par l’idée de revenir dans le Rhône. Et au moment où la piste lyonnaise s’éloigne, le rêve de voir le PSG s’activer. Au-delà de l’affection présidentielle et populaire, son éventuelle arrivée ne fait toutefois pas l’unanimité au sein du club de la capitale. À commencer par l’entraîneur Laurent Blanc, opposé à cette possibilité. Fin juin, le licenciement de l’ancien sélectionneur, remplacé par Unai Emery, va changer la donne et la position du club. Le PSG part alors de loin. Après avoir pris de nombreux renseignements, Olivier Létang s’active pour rattraper le temps perdu en coulisses. Mais c’est ensuite un coup de fil de Nasser al-Khelaïfi à Hatem Ben Arfa qui va permettre au club francilien de faire basculer définitivement ce dossier. Après avoir rapidement conversé avec le joueur, le président parisien tend ainsi le téléphone à… Unai Emery, présent à ses côtés et qui finit par le convaincre ».

« Les attaques répétées de Jean-Michel Aulas, contre le PSG ont fortement agacé son homologue parisien, Nasser al-Khelaïfi. Même si le climat s’est apaisé, ce dernier n’a pas oublié, lit-on par ailleurs. Du côté du PSG, on indique que leurs relations sont toujours fraîches. Tout en soulignant que la communication de l’OL autour du match de ce soir, qui raille le manque d’ambiance au Parc des Princes, n’est pas faite pour les réchauffer. »

« En championnat, Paris paie son retard à l’allumage et se trouve déjà lancé dans une course-poursuite plus périlleuse que prévu pour suivre le rythme de Nice et Monaco. Le PSG a déjà perdu en principauté fin août et attend la visite des Aiglons le 11 décembre, écrit Le Parisien. Le PSG a remporté un seul de ses dix derniers déplacements de Ligue 1 à Lyon, le jour de son sacre, le 12 mai 2013 (1-0). Lyon est-il sur ses terres la bête noire du PSG ? « C’est un grand test, coupe Unai Emery. L’équipe a accompli du bon boulot à Arsenal. J’attends beaucoup d’elle pour démontrer notre progression. Je veux une formation jouant ensemble, avec la même mentalité qu’à Londres. L’OL a surmonté quelques doutes. Ce sont trois points importants. » Face aux Gones, Paris peut envoyer un coup de klaxon qui résonne dans l’Hexagone. Il lui manque, depuis cet été, une victoire référence, un match fondateur. Le Parc OL, où le PSG avait chuté pour la première fois de la saison en février dernier (2-1), est le cadre idéal pour rappeler à tous qui est la plus grosse cylindrée du championnat. »

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