Revue de presse PSG : Neymar, NAK, Ancelotti, Allegri, Luis Enrique…

REVUE DE PRESSE PSG
Vu et lu dans la presse hexagonale au sujet du PSG ce mardi 13 mars 2018.
« Nasser al-Khelaïfi et Antero Henrique sont arrivés au Brésil pour quelques jours. Au menu principalement, deux visites. La première, au domicile de Neymar. La seconde, dans les locaux de l’Institut Projet Neymar Jr, l’association caritative créée par l’attaquant, écrit L’Equipe. Elle se déroulera aujourd’hui (13h30 heure française, ndlr), sans le joueur (en convalescence, il peut de nouveau poser le pied droit au sol mais se déplace toujours avec des béquilles), mais en présence de son père. Ce déplacement d’Al-Khelaïfi était prévu de longue date. Dans le contexte actuel, cette visite prend toutefois forcément une connotation particulière. Pas une semaine, en effet, sans que l’avenir du Ney soit remis en question. Au sein du PSG, on assure que ce séjour n’est pas lié à ce contexte et n’a pas pour objet de venir « rassurer » Neymar. À l’heure actuelle, impossible de savoir s’il reviendra terminer la saison avec le PSG, même si c’est clairement l’objectif. »
« Au Brésil, le PSG cajole Neymar, juge Le Parisien. Al-Khelaïfi, Henrique et Ribes sont arrivés à Rio de Janeiro, hier matin, pour passer deux jours auprès du clan Neymar. Le club affirme que la visite était prévue de longue date, dans le cadre des projets de partenariat entre la Fondation PSG et l’Instituto Neymar Jr. Il n’empêche que ce rendez-vous est une aubaine, au moment où les médias espagnols inondent de rumeurs. La visite présidentielle est une bonne occasion de remettre un peu de PSG dans la vie de Neymar et dans ses projets d’avenir, si besoin était. […] Le président du PSG restera d’ailleurs au Brésil jusqu’en fin de semaine pour enchaîner des rendez-vous dans le milieu du football mais aussi dans le cadre de ses multiples activités télévisuelles. »
« Qui sera le numéro 5 ? se demande France Football en référence au successeur d’Unai Emery, avant de pencher pour Carlo Ancelotti. « Si QSI avait su le conserver en 2013, Ancelotti aurait fait gagner dix ans au PSG. Aujourd’hui, le chantier est monumental et l’Italien possède l’épaisseur, le sens du très haut niveau pour enclencher un nouveau cycle. Son nom suffit à fixer les ambitions. » Mais l’hebdomadaire ne dirait pas non à un Max Allegri. « Avec lui, le club parisien possédera un tacticien de premier choix et un homme de vestiaire qui parle droit dans les yeux aux vedettes. Le personnage n’est pas clinquant, mais on ne supporte pas aussi longtemps la pression des tifosi, des médias italiens et des dirigeants de si grands clubs sans posséder une résistance à toute épreuve. » Ni à Luis Enriquequi « possède l’immense avantage de connaître Neymar. Il est partisan d’un jeu d’attaque et, pour le malheur des fans du PSG, il était le coach de la remontada. Lui saura transmettre un esprit guerrier aux Parisiens« . Zidane, Pochettino (« il manque de renommée internationale »), Wenger, Conte ( « le choisir est une opération à court terme, pour redynamiser l’équipe, pas pour bâtir un projet ») ou Simone, pour son style de jeu, sont moins PSG compatibles, pour FF.
« Depuis 2011, l’organigramme du PSG multiplie les erreurs de casting, lit-on également dans France Football. Avec al-Khelaïfi, Henrique et Emery, un trio bien improbable, on est loin du compte. […] Paris ne boxe pas dans la même catégorie que la Juventus, pas plus que dans celle du Real, du Barça, du Bayern ou de Liverpool. Et il ne réunit pas non plus tous les ingrédients indispensables au quotidien ni la mentalité nécessaire pour rivaliser encore avec les meilleurs. L’excellence, autrement dit la Ligue des champions, est pourtant à ce prix. »

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