Revue de presse PSG : Augustin, Borussia, Callegari, Georgen, OM…

Vu et lu au sujet du PSG dans la presse hexagonale ce jeudi 23 février 2017.

« Jean-Kévin Augustin ne s’entraîne plus au quotidien avec le groupe pro du PSG. Il a conservé son casier et ses affaires dans le vestiaire des « grands » mais, chaque jour ou presque, il participe aux séances de l’équipe réserve. Il pourrait bientôt découvrir un autre quotidien, écrit L’Equipe. Le joueur vient en effet de donner son accord au Borussia Dortmund. Le club le suivait depuis des mois et, engagé dans une vaste prospection pour anticiper l’après-Aubameyang, a décidé de miser sur lui. Longtemps déterminé à réussir coûte que coûte à Paris, «JK» a semble-t-il pris acte de la situation. […] Le mercato est clos depuis trois semaines et l’affaire ne s’est pas améliorée pour Augustin. Les arrivées de Draxler et surtout Guedes ont encore plus bouché son horizon. Dans l’esprit d’Emery, le Portugais et Ben Arfa sont prioritaires pour évoluer en pointe en cas d’absence de Cavani. Même si le technicien n’a exprimé aucune mise au ban formelle, Augustin apparaît loin dans la hiérarchie. […] Peut-être l’attaquant a-t-il aussi été informé, en coulisses, de l’opinion de ses responsables, entre un Emery pas totalement convaincu par son profil et son attitude, et un Kluivert qui ne croit guère en sa capacité à devenir un jour numéro 1 au PSG. […] Quelle sera la position du club sur sa volonté de rejoindre Dortmund ? Augustin représente une question d’image pour le club. Paris lui a d’ailleurs transmis une proposition de prolongation de deux ans (soit jusqu’en 2020), qu’il a repoussée. Le Borussia pourrait proposer autour de 8M€ pour racheter sa dernière année de contrat. »

« Lorenzo Callegari et Alec Georgen (18 ans tous les deux) ne s’entraînent plus au quotidien avec le groupe d’Unai Emery depuis la fin du mercato d’hiver, comme Augustin, lit-on également dans le quotidien sportif. Quasiment pas utilisés par le technicien basque, les amis ont tous deux réfléchi à la possibilité d’un prêt en janvier pour poursuivre leur progression mais Paris a fermé la porte. Le club tient à eux et il a prévu de discuter « prochainement » avec les deux joueurs, en fin de contrat à l’été 2018. »

« Marseille s’imagine se poser, bientôt, en concurrent crédible de Paris. Mais, du rêve à la réalité… rappelle Le Parisien. L’OM est aujourd’hui dans les mains d’un homme dont la fortune, aussi élevée soit-elle — on parle de 1,5 Md$ —, n’a pas de quoi faire pâlir le PSG version Qatar. « Il est peu probable que l’OM atteigne un jour le budget du PSG (NDLR : 550 M€), estime Lionel Maltese, spécialiste en management sportif. On a un investissement étatique fort côté parisien, alors que McCourt, pour l’instant, est un simple investisseur avec une ambition sportive. Pour se rapprocher des 300 M€ de budget, l’OM doit aller chercher des droits télé en Coupe d’Europe, développer ses partenariats… » Et ça ne suffirait toujours pas. Reste que les résultats ne sont pas toujours une histoire de budget. Mais Marseille a du retard sur le PSG. […] « On a certainement expliqué à Frank McCourt ce que les Marseillais aiment entendre, qu’il ne faut complexer devant personne. Mais vous avez un club qui investit pour gagner la C1, et l’autre pour s’y qualifier, c’est difficilement comparable. Et le problème de l’OM, ce n’est pas que Paris. Monaco aussi va rester compétitif, car il aura toujours un avantage fiscal important, ce qui lui a permis de réduire une partie du gap avec le PSG. »  ajoute Bruno Satin, agent ».

« Les Parisiens ont repris l’entraînement hier matin, après deux journées de repos. Le groupe est au complet avant le match à Marseille », rapporte enfin le journal francilien.

« Hier, Patrice Evra (douleur à une cuisse samedi à Rennes) s’est entraîné seul, il a eu le droit à une séance à la carte, informe La Provence. Il a enchaîné les tours de terrain au côté de l’un des kinés ».

« Battre le PSG ? Niort l’a déjà fait ! lance La Nouvelle République. Avec 2.000 Niortais dans les tribunes, la plupart venus par train spécial, les Chamois avaient battu le PSG au Parc des Princes… il y a déjà 30 ans. […] Trente ans plus tard, les Chamois retrouvent le PSG non plus relégable, mais qui a fait sa place parmi les grands d’Europe. Une autre musique ».

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