La revue de presse PSG

Vu et lu dans la presse hexagonale ce mardi 1er mars 2016 au sujet du PSG.

« Un grain de sable s’est glissé dans le scénario prévu par Blanc. Dimanche soir, au Parc OL, Gregory van der Wiel est passé à côté de son match dans des proportions inquiétantes, estime Le ParisienBlanc possède encore une semaine et deux matchs (Saint-Etienne, Montpellier) pour trancher. »

« Samedi, le PSG reçoit Aubervilliers (CFA). Aurier l’a confié en privé : il ne se voit pas débuter cette rencontre. Il prend tout juste ses marques, avec un sentiment étrange de ne pas fréquenter l’endroit où il aimerait vraiment être, c’est-à-dire à l’autre bout de la rue, ajoute le journal francilien. Il finira sa journée en postant sur un réseau social une photo d’un bébé né samedi, avec ce commentaire : Même dans les moments difficiles, Dieu a toujours un bonheur à t’offrir ».

« Pour Chelsea, c’est Marquinhos qui est, désormais, l’immense favori pour être titulaire comme latéral droit, écrit L’EquipeFace aux flèches de Chelsea, le manque de discipline défensive de van der Wiel pourrait avoir des conséquences beaucoup plus douloureuses qu’un premier échec en Championnat. Blanc le sait. (…) Marquinhos ne crachera pas sur une nouvelle apparition en C1, quand bien même il devrait se résigner à évoluer dans une position qui ne lui semble pas aussi naturelle qu’en charnière centrale. Il ne restera alors plus qu’un point d’interrogation pour boucler le onze de départ : titulariser Lucas ou lui préférer Edinson Cavani ? Pour le coup, la défaite à Lyon n’a pas forcément livré d’informations nouvelles. Lucas a marqué mais il ne s’est pas non plus singularisé par un sens aigu de l’efficacité alors que l’Uruguayen, décisif contre Chelsea à l’aller, n’a pas vraiment eu de bons ballons à exploiter offensivement. Les deux prochains matches revêtiront une importance certaine dans les choix de Blanc. »

« Visionner une seconde fois OL-PSG confirme la première impression globale : à part Trapp, qui a évité une correction, Paris n’a pas été au niveau individuellement, lit-on par ailleurs dans le quotidien sportif. Les images sont saisissantes : dès que le ballon arrive sur Thiago Motta, un à trois Lyonnais jaillissent systématiquement sur la rampe de lancement habituelle des mouvements parisiens. Un travail d’obstruction conduit par Lacazette, mais pas seulement. Rabiot comme Stambouli, souvent pris à deux, ne proposent guère de solutions à Motta et sont dominés dans les duels. »

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