Le penalty concédé par Kang-in Lee était justifié selon la FFF

Lors de la victoire du PSG contre Brest, les locaux ont obtenu un penalty. Un penalty qui faisait débat. Selon, la direction de l’arbitrage de la FFF, ce dernier était justifié.

On joue la 51e minute de Brest / PSG. Dans la surface, Kang-in Lee dévie le ballon de la main après une remise en aile de pigeon de Romain Del Castillo. L’arbitre du match consulte la VAR pour accorder ou non un penalty. Après de très longues minutes, Monsieur Pignard décide dans un premier temps d’accorder un corner au Brestois. Puis, il va finalement voir les images. Après de nouvelles nombreuses minutes d’attente, il décide de siffler le penalty. Ce choix divise puisque le numéro 19 du PSG voit le ballon lui toucher la tête avant la main. 

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« La position du bras de Kang-in Lee augmente artificiellement la surface couverte par le corps du Parisien »

Comme après chaque journée de Ligue 1, la Direction de l’arbitrage de la FFF analyse certaines situations qui ont nécessité le recours à l’assistance vidéo durant le week-end. Cela donc été le cas pour le penalty attribué contre le PSG, qui sera finalement raté par Romain Del Castillo. Ce mardi soir, la Direction de l’arbitrage de la FFF a ainsi expliqué dans son communiqué que le penalty concédé par l’international sud-coréen était bien valable. « La complexité de la situation, comprenant non seulement l’analyse du caractère illicite du contact entre le bras du défenseur et le ballon, mais également l’étude de la position de l’attaquant brestois Ludovic Ajorque lors de l’exécution du coup franc, explique la durée prolongée de l’interruption liée au recours à l’assistance vidéo à l’arbitrage. Techniquement, la position du bras de Kang-in Lee, avec un bras éloigné du corps et un coude placé à 90 degrés au moment du contact avec le ballon, augmente artificiellement la surface couverte par le corps du Parisien : elle est donc sanctionnable au sens des Lois du jeu. La Direction de l’Arbitrage rappelle que le contact préalable du ballon avec le visage du défenseur n’est pas un critère qui figure dans la loi 12 et qui saurait, à lui-seul, annuler la position sanctionnable du bras. Le pénalty était bien la décision attendue. »

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