Le scenario complètement fou, la deuxième place, la conférence de Christophe Galtier

Malgré sa victoire contre la Juventus Turin (1-2), le PSG termine deuxième de son groupe derrière le Benfica en raison d’un plus grand nombre de buts marqués à l’extérieur. Les deux équipes ont terminé avec le même nombre de victoires (4) de nuls (2), même nombre de buts marqués (16) et encaissés (7). C’est la première fois de l’histoire de la Champions League que les deux premières équipes d’une phase de groupe terminent avec le même nombre de points, ont la même différence de buts et le même score sur la confrontation aller-retour. Un scénario complètement fou sur lequel est revenu Christophe Galtier en conférence de presse dans des propos relayés par l’Equipe.

La deuxième place du groupe

« Jusqu’à la 90e on était premier, on se retrouve second. Bravo au Benfica, on est les deux seules équipes en Europe à ne pas avoir perdu (toutes compétitions confondues). On va attendre sereinement le tirage, mais mes joueurs ont fait les choses sérieusement. Ce soir, c’était un peu irrationnel. La semaine dernière, à 7-2, on s’est arrêté à la 90e minute, sans arrêt de jeu. Ce sont des détails...Si on avait pris un but de moins aussi la semaine dernière, on serait en tête du groupe. Mais je suis heureux de ce que mon groupe a produit. On a su être performants, en changeant de système aussi pendant cette phase de groupe. Maintenant, si vous voulez aller loin, il faudra battre de grandes équipes. Je crois qu’on va tirer une grande équipe.« 

La prestation de Carlos Soler

« À chaque fois qu’on met Carlos dans ce registre et qu’il remplace Neymar, il y a une comparaison. Les trois de devant ont une grande connexion. Carlos a été en difficulté, il joue dans un secteur où il a besoin de plus de repères, de temps peut-être.« 

Ce qu’il a dit à ses joueurs à la mi-temps

« On avait une grosse pression et pas assez de mobilité en première mi-temps. On est resté dans du jeu positionnel et ça a favorisé le jeu Italien. J’ai demandé plus de mouvements mais aussi d’être plus vertical. Kylian était souvent dans une zone d’un contre un. On aurait pu le trouver plus souvent en profondeur. Je crois que ça a été mieux fait après la pause.« 

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