[30/8] Revue de presse PSG : Matuidi, Aurier, Emery, Pastore Draxler…

Vu et lu dans la presse hexagonale au sujet du PSG ce mardi 30 août 2016.

« Unai Emery n’est donc pas un magicien, écrit Le Parisien. Aucune révélation en soi, juste le bilan assez classique d’un nouvel entraîneur qui découvre son environnement, son effectif et la L1. Même Carlo Ancelotti est passé par là. L’Italien avait commencé le championnat par trois nuls consécutifs. Un an plus tard, à la même époque, Laurent Blanc inaugurait son cycle dans la capitale par deux résultats nuls assortis d’une victoire. (…) Plusieurs signaux interpellent les observateurs et perturbent le vestiaire. En premier lieu, sa gestion de l’effectif. Emery a ainsi conservé le même onze de départ, à deux exceptions près. Un principe assez rigide qui a exclu une moitié de son groupe et notamment des joueurs importants comme Maxwell ou Matuidi. (…) Pourquoi n’a-t-il pas relancé Ben Arfa face à Monaco alors que le poste de meneur de jeu était laissé vacant par Pastore ? (…) Quant au système de jeu, il n’est pas encore stabilisé. »

« Al-Khelaifi annonçait la signature imminente d’une prolongation. Il faut croire que l’envie de départ de Matuidi est trop forte et que l’intérêt de la Juventus Turin est trop pressant, lit-on dans le journal francilien. Matuidi, encouragé par Didier Deschamps, n’a donc pas renoncé à obtenir son transfert. Seulement, le PSG semblait, hier soir, n’avoir aucune envie de céder. »

« Blaise Matuidi n’était pas fermé à l’idée de prolonger son séjour dans la capitale, affirme L’Equipe. Seulement il a pu mesurer l’écart entre les mots et la réalité du terrain : en trois journées de Championnat, il s’est installé à trois reprises sur le banc. Celle à Monaco l’aurait particulièrement heurté. (…) De source italienne, La Juventus serait disposée à proposer 30M€ (bonus inclus) pour racheter ses deux dernières années de contrat. (…) Soit le président parisien campe sur ses positions afin de ne pas perdre la face ; soit il reprend les discussions avec la Juve, aboutit à un accord et communique sur l’éventuelle belle plus-value réalisée sur un joueur acheté 10 M€ (bonus inclus) en 2011 à Saint-Étienne. C’est cette issue qu’espère le clan du joueur, mais ce serait une première. »

« Julian Draxler est un homme ambitieux. Il y a quelques semaines, l’attaquant de 22 ans déclarait qu’il n’envisageait plus son avenir au VfL Wolfsburg. Seul problème : le club a d’emblée expliqué qu’il n’était pas vendeur. Acheté l’été 2015 à Schalke pour 36M€, Draxler est sous contrat jusqu’en 2020 et un des éléments clés de l’entraîneur Dieter Hecking. Ce dernier s’accroche d’autant plus à lui que le club n’a pas besoin d’argent. Ce matin, une réunion de la dernière chance est prévue entre l’entourage du joueur et les dirigeants allemands, explique le quotidien sportif. Son agent aurait fait savoir qu’il venait avec une proposition d’un grand club européen. Le contrat de Draxler contient une clause de rachat de 75M€ qui n’entrera en vigueur qu’à partir de l’été 2017. Le grand club européen en question serait disposé à proposer entre 75 et 90 M€. Mais sans garantie, donc, que ça fasse céder le VfL. Le club mystère pourrait-il être le PSG ? Capable de jouer en pointe ou dans le couloir gauche, Draxler fait partie des dossiers sur lesquels le champion de France, à l’affût de renforts offensifs, s’est penché cet été. Son agent a même rencontré le président parisien Nasser al-Khelaïfi en personne. Aujourd’hui, le PSG assure qu’il n’y a « rien ». Une chose est sûre : l‘agent de Draxler a passé ces trois derniers jours à Paris. »

« Après avoir été confronté à la blessure de Thiago Silva (hanche), en phase de reprise et, plus récemment de Jesé, victime d’une appendicite, le PSG doit faire face à une inquiétude autour du cas Serge Aurier. À la fin de la rencontre, sa cheville droite avait quasiment doublé de volume. Hier, elle n’avait pas dégonflé, lit-on par ailleurs. La durée de son indisponibilité n’était pas encore connue avec précision hier soir, mais elle ne devrait pas excéder la durée de la trêve internationale. Le cas de Javier Pastore diffère. Il a été préservé par les staffs technique et médical parisiens. La Fédération argentine communiquait sur une « déchirure du muscle soléaire de la jambe droite ». En fait, le numéro 10 souffre d’une inflammation. S’il n’est pas mis au repos, le muscle pourrait céder. Lors de cette trêve internationale, Pastore ne va donc pas solliciter son muscle pendant quatre à cinq jours. »

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