Marquinhos et l’importance d’un groupe soudé après cette défaite

Le PSG s’est incliné sur la pelouse de Marseille en huitième de finale de la Coupe de France (2-1). Les Parisiens manquent l’occasion de renouer avec la victoire en Coupe de France. Au micro de France 3, Marquinhos a expliqué être déçu de cette défaite.

« On sait qu’ils font un bon pressing. On n’est pas arrivée à faire sauter leur ligne. On a fait quelques erreurs qui nous ont coûté le but. Il faut être mieux organisé. Ça ne sert à rien d’en rajouter ici. On sait ce que l’on doit améliorer. Il faut travailler. C’est une défaite qui fait mal. C’est un match de Coupe contre notre grand adversaire. On voulait revenir à Paris avec la victoire et la qualification. Maintenant il faut fermer la bouche, travailler et continuer d’aller vers l’avant. »

Au micro de BeIN Sports 1, le capitaine du PSG a souligné que son équipe devait continuer à travailler pour sortir de cette spirale négative.

« Un match de Coupe, il faut le gagner. On n’a pas réussi, il nous a manqué des choses. Ça ne sert à rien d’en rajouter maintenant. C’est le moment de fermer notre bouche et de continuer à travailler et aller vers l’avant. On doit s’améliorer si on veut faire des bonnes choses cette saison. Il y a déjà un titre qui s’en va, ça fait mal. Il faut maintenant que l’on se regroupe, il faut être mieux organisé, mieux jouer. Cette équipe de Marseille a mis beaucoup d’engagement. Nous, on a manqué de plusieurs choses. On a pas réussi à mettre notre jeu en place. Une mauvaise préparation pour le Bayern ? Ça sert à rien de rajouter d’autres matches. On a vécu des moments où on gagnait tout et en Champions League on perdait les matches. On sait que chaque match a son histoire. C’est vrai que ce n’est pas notre meilleur moment. Maintenant, il faut rester tranquille, calme. On est tous dégoutés, on est triste. Eux, c’est le meilleur moment de leur saison. Nous, on a beaucoup gagnés. Maintenant, il faut savoir aussi perdre et reprendre le travail. Confiance en mon groupe ? Toujours. Quand il faut je suis là. On va rester ensemble jusqu’à la fin. On sait que cela parle beaucoup à l’extérieur, ça rajoute beaucoup de choses. Il faut continuer à travailler. On sait qu’il faut rester ensemble et calme.« 

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