Revue de presse PSG : Alaba, Wijnaldum, mercato, AK-JKA…

Vu et lu au sujet du PSG ce jeudi 25 février 2021 dans la presse hexagonale.

Dans L’Equipe, outre la prise de parole d’un ancien président, Robin Leproux (lire ici), on peut voir un ancien joueur et entraîneur du PSG (Antoine Kombouaré), à la tête de l’équipe du FC Nantes, parler d’un Titi en situation d’échec (Jean-Kévin Augustin) et envoyé jusqu’à la fin de saison en réserve. « J’ai pris dix jours pour observer le travail au quotidien à travers les entraînements, les entretiens, et même, pour finir, une opposition. À mon grand regret pour Jean-Kévin n’est pas prêt. Et il ne sera pas prêt non plus demain, parce qu’il est beaucoup trop en retard. Comme je n’ai pas le temps, j’ai décidé de mettre fin à ça. Après, est-ce qu’il sera capable de revenir ? C’est une autre question. Aujourd’hui, il est écarté du groupe professionnel parce que j’ai besoin d’avoir un groupe resserré, des joueurs 100 % prêts physiquement et mentalement. C’est aussi une décision que j’ai prise pour qu’il y ait une prise de conscience. Là, on faisait de l’entretien, on avait le sentiment de l’aider et, en fait, on ne l’aidait pas. Il faut vraiment qu’il comprenne qu’aujourd’hui il est en grande difficulté. Lui et son entourage. Parce que c’est un message qui s’adresse aussi à son entourage : que faites-vous de votre côté pour que Jean-Kévin redevienne un joueur de foot ?« , lance Antoine Kombouaré. « Mon métier, c’est de prendre des décisions, c’est une question d’honnêteté. Alors, comment il l’a pris, bien sûr que ça a été dur, compliqué. En même temps, c’est lui dire : « Là on est arrivés à un point de non-retour, tu dois changer quelque chose. Nous, on t’a aidé, et tu n’es pas prêt. Prends-toi en main. »

Le Parisien parle du prochain du mercato du PSG avec des joueurs en fin de contrat comme pistes : David Alaba (Bayern, 28 ans), qui aimerait s’installer au milieu de terrain, et Georginio Wijnaldum. Mais aussi potentiellement d’autres : Memphis Depay, Kun Agüero, Lucas Vazquez, Sergio Ramos, Gianluigi Donnarumma, Jérôme Boateng. « Pandémie, recettes en baisse… le PSG n’a plus la folie des grandeurs sur le marché des transferts », explique Dominique Sévérac. « A l’heure où Haaland affole l’Europe, avec un transfert à 100M€ annoncé, le PSG n’est jamais cité », ajoute le journaliste. « Le message est clair au siège du club : il faut boucler les comptes. A Paris, on ne préfère pas vendre ses pépites, à l’heure où Leonardo entend prolonger Neymar et Mbappé, puis sans doute Di Maria et Bernat, deux hommes en fin de contrat en juin. Seuls des seconds couteaux comme Draxler (libre en juin) ou Sarabia (peu coûteux) peuvent quitter prochainement la capitale. La marge de manœuvre dégagée concerne alors la masse salariale. L’argent économisé permettra de payer les futures recrues, qui devront arriver libres ou sous forme de prêt. « On ne peut pas faire de promesses, explique-t-on en interne au PSG. Le mercato va dépendre désormais de plusieurs facteurs. Combien coûte le joueur ? Quelles seront nos recettes en Ligue des champions ? » […] Malgré tout, le nom de Messi revient avec insistance dans la coulisse parisienne. Car sa signature permettrait au PSG de gagner plus d’argent que ce que l’opération ne lui coûte. »

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