Revue de presse PSG : Tuchel, Henrique, al-Khelaifi, Fernandez ambassadeur, Naples, Silva, Diarra, L1…

Vu et lu au sujet du PSG ce mardi 23 octobre 2018 dans la presse hexagonale.

L'Equipe« Si la situation sportive du PSG est quasi parfaite, en interne, chaque responsable essaye d’étirer sa zone d’influence, affirme L’EquipeEntre Henrique et Tuchel, ce n’est pas l’amour fou, loin de là. Le second, qui n’était déjà pas le choix du Portugais, reproche au premier de ne pas avoir satisfait tous ses besoins au mercato d’été. Et il n’a pas forcément envie que le scénario se reproduise. Récemment, Tuchel a fait la connaissance de Wenger, et il se dit que le courant est bien passé. Henrique a saisi qu’il était dans une situation plutôt inconfortable. Le fil sur lequel il tient dépend pour beaucoup du président. » Le journal sportif illustre la lutte de pouvoir avec les nominations récentes à la formation. Noga par Henrique, Reuzeau par Blanc, Thiago Motta par al-Khelaïfi, Echteld par Maxwell, Schelb par Tuchel.

Entre Antero Henrique et Luis Fernandez, les divergences de vues sur le fonctionnement du centre de formation « étaient devenues trop profondes pour que la collaboration se poursuive, rapporte le journal sportif. Malgré cela, tout le monde n’avait pas forcément envie de le voir partir. Luis devrait, sous peu, devenir officiellement ambassadeur du club. »

Rayon terrain, il y est question de Thiago Silva (ischio-jambiers) qui se dirige vers un forfait pour le PSG/Naples mercredi. « Quant à Di Maria (gêne à la cuisse), une décision sera prise dans la matinée du match. L’optimisme prévaut toujours pour Verratti. L’équipe probable : Areola – Meunier, Marquinhos (c), Kimpembe, Bernat – Verratti, Rabiot – Mbappé, Neymar, Di Maria (ou Draxler) – Cavani. »

« Depuis son arrivée au PSG, Lassana Diarra a endossé le rôle qu’il préfère. Celui de l’homme de l’ombre, lit-on encore. À ceux qui l’interrogent en privé, le milieu offre toujours la même réponse: « Je n’ai plus vingt ans, je n’ai pas besoin de parler. Je suis footballeur, je suis chez moi, à Paris, je vais bien, tout va bien, ne vous inquiétez pas. » […] Lass, le sage, un homme de peu de mots qu’on écoute. Voilà l’image renvoyée en dépit d’un statut sportif peu affirmé. »

Le Parisien voit une « révolution CULTUCHELThomas Tuchel s’est attaqué depuis le début de saison à un chantier considérable : changer les mentalités à l’intérieur et le regard sur le PSG à l’extérieur.  Facétieux, mutin, hyper tactile, il séduit depuis bientôt trois mois ses joueurs. Aux entraînements, la diversité des séances captive pour l’instant la troupe. Une constante dans son management : il responsabilise les joueurs. Demain, l’effectif est ainsi convoqué à 11 heures à Rueil-Malmaison pour un dernier briefing avant PSG-Naples, mais les Parisiens peuvent rentrer chez eux après le déjeuner. Ils se rendront au Parc des Princes par leurs propres moyens. Dimanche, ils n’arriveront qu’à la mi-journée à Marseille pour le clasico du soir. Ces absences de mise au vert est sa manière de les récompenser. Au camp des Loges, il lui arrive de manier la carotte dans le même ordre d’idée : s’ils mettent l’intensité demandée, il raccourcit l’opposition. Du donnant-donnant . […] Il livre jusqu’à maintenant des conférences de presse vivantes et informatives. Et met ses idées en action. […] Il a donné du temps de jeu aux joueurs du centre de formation dans des proportions inhabituelles. Avec Tuchel, le changement, c’est déjà maintenant. »

France Football pense déjà à l’affiche du dimanche : OM-PSG. Et il s’indigne de l’opposition proposée aux Parisiens : « Pas question de taper sur ce PSG exemplaire de constance et d’envie lors de ses matches de L1. Lui, au moins, fait le job. En revanche, on sera moins magnanime à l’encontre de la plupart de ses adversaires. Ras-le-bol de tous ces soumis d’office, sans imagination ni audace au moment de rencontrer l’ogre parisien. Oui, ces rendez-vous sont très déséquilibrés « sur le papier». Mais pas plus qu’un Leganés-Barça ou un Real-Levante, deux matches perdus cette saison par les cadors de la Liga. Ça en devient pénible de voir toutes ces équipes de Ligue 1 baisser la tête, puis le short sitôt le coup d’envoi donné et attendre avec autant de fatalisme que de couardise la fessée de la semaine. Et la hardiesse ?… Bordel !« 

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