Di Maria : « Je rêve de gagner la Ligue des Champions avec Paris »

Angel Di Maria est rare en interview. El Fideo – qui a prolongé son contrat d’un an (plus une année en option) – a donné un entretien accordé à BeIN Sports, il a dévoilé son bien-être à Paris, et ses rêves pour sa fin de carrière.

Bien à Paris

« Oui, je l’ai déjà dit quand je suis arrivée ici et je l’ai répété à chaque fois. Le plus important pour moi c’est la famille. Et si ma famille est bien quelque part, je le montre aussi sur le terrain en jouant. C’est le plus important. Mes filles et ma femme, c’est le plus important. Si je suis tant heureux aujourd’hui, l’idée était de finir le contrat et de retourner en Argentine. Mais en Argentine ça ne va pas très bien. Mais partir dans un autre pays européen, alors que je suis aussi bien à Paris, dans cette ville, en plus une de mes filles est née ici, elles vont à l’école ici, elles parlent anglais et français, je crois que ça va être difficile un jour de partir.« 

Sa carrière

Di Maria : « Je suis fier de tout dans ma carrière. Vraiment de tout. Ce que j’ai réussi, je l’ai fait avec du travail et des sacrifices. On ne m’a rien offert. J’y ai toujours cru. Et j’ai fait le maximum pour toujours jouer. […]Au Real Madrid, il y avait Bale, Benzema, Cristiano Ronaldo, Luka Modric, Xavi Alonzo et j’ai trouvé ma place dans l’équipe.« 

Ses rêves

Di Maria : « Franchement j’ai beaucoup de rêves. L’un d’eux était de signer un an de plus ici. Car je rêve de gagner la Ligue des Champions avec Paris. Et je sais que le club fait tout pour. L’autre rêve qui ne me quittera jamais tant que je ne m’arrêterai pas, c’est de gagner avec l’Argentine. Ça c’est dans mon cœur. Tant qu’on ne me dit pas d’arrêter, j’y crois.« 

Pourquoi il ne répond pas en Français

Di Maria : « Je parle, je comprends tout mais, comment je peux dire. Je ne veux pas que ce soit mal interprété. Quand je suis arrivé, tout le monde m’a dit : « les gens t’aiment pour le football, mais si tu parles français, ils t’aimeront encore plus. » Mais je ne veux pas qu’ils m’aiment pour mon français, je veux qu’ils m’aiment pour ce que je fais sur le terrain. Donc je suis resté sur ça, et je me suis dit : « je ne vais pas parler en français dans mes interviews.  » Ce qui m’intéresse c’est dehors de parler en français avec les supporters qui me demandent une signature. Ils me parlent en Français et je réponds, avec mes amis je peux parler, quand je vais acheter le pain, quand je vais au supermarché, au kiosque à journaux. Je peux avoir un échange sans problème. Mais j’ai dit que je n’allais pas le faire en interview, parce que je veux qu’ils m’aiment pour ce que je fais sur le terrain.« 

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