Mourinho pas surpris par la nouvelle blessure de Renato Sanches

Pas dans les plans du PSG, Renato Sanches a été prêté avec option d’achat à l’AS Roma. Mais comme trop souvent, il s’est encore blessé. Son entraîneur, José Mourinho a évoqué ce nouveau coup dur.

Arrivé l’été dernier au PSG, Renato Sanches a vécu une première saison sous le maillot des Rouge & Bleu tronquée par les blessures. Il n’a participé qu’à 27 matches toutes compétitions confondues (2 buts). Encore sous contrat jusqu’en juin 2027 avec le club de la capitale, il n’entrait pas dans les plans de Luis Enrique et était invité à se trouver un nouveau club lors de ce mercato estival. Et l’international portugais a rejoint l’As Roma sous la forme d’un prêt avec option d’achat, alors que son coéquipier au PSG, Leandro Paredes a été transféré au sein du club romain. L’ancien du Benfica a joué ses premières minutes sous ses nouvelles couleurs le week-end dernier lors de la première journée de Serie A contre la Salernitana (22 ans). Il est entré en jeu à 25 minutes de la fin. Après cette première rencontre, il ne devrait pas refouler les pelouses tout de suite. En effet, comme trop souvent depuis le début de sa carrière, il s’est de nouveau blessé. Cette semaine, il a du écourter un entraînement ressentant une douleur Son entraîneur, José Mourinho, a évoqué cette nouvelle mauvaise nouvelle.

A voir aussi : Les détails du deal PSG-Roma pour Renato Sanches

canalsupporters.com

« S’il n’était pas blessé, il ne serait pas venu à Rome, il serait titulaire au PSG »

« L’absence de Renato Sanches demain n’est pas une surprise pour qui connaît son histoire ces deux dernières années. Mais s’il n’était pas blessé, il ne serait pas venu à Rome, il serait titulaire au PSG, lance le coach portugais en conférence de presse. L’année dernière, nous avons pris Dybala parce que beaucoup doutaient de sa condition physique. Nous sommes devenus des spécialistes de l’entraînement des joueurs de ce type, nous essayons de leur trouver une stabilité pour qu’ils retrouvent leur niveau d’antan. C’est notre réalité : les attentes sont faibles, les gens n’ont pas besoin de réfléchir. C’est peut-être un peu surprenant pour vous de me voir si calme, mais c’est comme ça, allons-y. L’important, c’est demain.« 

Articles similaires

Bouton retour en haut de la page