Revue de Presse PSG : Conceiçao, Luis Enrique, Handball…

Vu et lu au sujet du PSG dans la presse hexagonale ce dimanche 18 juin 2023. Les pistes Luis Enrique et Sergio Conceiçao pour remplacer Christophe Galtier, le PSG Handball qui ne jouera pas la finale de l’EHF Champions League…

Dans son édition du jour, le Parisien évoque la succession de Christophe Galtier sur le banc du PSG. Alors que Julian Nagelsmann était la priorité, ce dernier ne viendra pas. Deux noms se détacheraient, Luis Enrique et Sergio Conceiçao. Le quotidien francilien indique que le dénouement se rapproche dans le dossier du futur coach des Rouge & Bleu « et pourtant l’identité du futur entraîneur reste un mystère. » Celle menant à l’ancien technicien du Bayern Munich avait fière allure et s’était réchauffé il y a de cela quelques jours, avance le Parisien. Luis Campos avait même rencontré un de ses représentants à Paris il y a une dizaine de jours. Mais cette piste semble désormais enterrée. Le quotidien francilien confirme les informations de l’Equipe dévoilées vendredi, Julian Nagelsmann « ne sera pas le prochain entraîneur du PSG. » Le dernier nom avancé pour reprendre le banc des Rouge & Bleu, Sergio Conceiçao. Selon les informations du Parisien, les contacts entre les dirigeants parisiens et l’actuel coach du FC Porto, « déjà existants, ont repris de plus belle ces dernières heures. » Mais à ce stade, rien ne permet de dire que cette piste aboutira, tempère LP. « De sources portugaises, on laissait entendre que ce dossier n’était pas si avancé que cela en dépit des dernières rumeurs. » Encore sous contrat jusqu’en juin 2024 avec Porto, il avait déjà été approché par le PSG au moment du remplacement Mauricio Pochettino. Pour le libérer de sa dernière année de contrat, il faudrait payer 18 millions d’euros.

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Le Parisien explique aussi que Luis Enrique apparaît toujours comme une option très sérieuse pour le banc du PSG. Il a des soutiens forts au sein du club et même au sein de l’équipe. « Dans son entourage, le ton a changé depuis le début des rumeurs. Alors qu’au départ, on démentait en bloc les discussions avec Paris, on dit plutôt aujourd’hui que Paris a tout pour plaire et qu’il s’agit d’une grande équipe qui l’attire tout particulièrement. » Xabi Alonso fait aussi partie de la liste mais il est encore sous contrat avec le Bayer Leverkusen. Enfin, Thiago Motta plaît énormément à Nasser al-Khelaïfi qui le tient en haute estime. Mais il ne ferait pas l’unanimité auprès de toutes les composantes du club conclut Le Parisien.

Le quotidien francilien revient également sur la défaite du PSG Handball en demi-finale du Final Four de l’EHF Champions League contre Kielce (24-25). Après ce revers, les coéquipiers de Luka Karabatic repartent frustrés de Cologne assure Le Parisien. Pour la cinquième fois en six participations au Final Four, les Parisiens sont battus en demi-finale. Cette rencontre a été marquée par l’agressivité en défense et la maladresse des attaques. Elohim Prandi, qui s’est fracturé la main gauche le 2 juin et qui n’aurait pas dû jouer, s’est montré très critique envers lui. « J’ai manqué de lucidité. Je ne me suis pas trouvé à la hauteur. C’est dur d’échouer si proche, c’est frustrant. L’équipe est incroyable, je suis fier d’eux et je m’excuse auprès des gars. » Malgré ce revers, le courage et la combativité des champions de France n’ont jamais manqué. « De quoi faire de ce nouvel échec européen l’un des plus rageants, après la défaite en finale d’un but en 2017. Le plus illogique ? Non, tant Paris ne se présentait pas comme favori« , avance Le Parisien. Les deux gardiens du PSG, ont été au rendez-vous avec 12 arrêts (sur 24 tirs) pour Andreas Palicka et 2 parades sur 5 tentatives pour Jannick Green. Les Parisiens ont aussi pu compter sur la présence d’une centaine d’Ultras. Le PSG Handball affrontera cet après-midi le FC Barcelone lors de la petite finale de la compétition (15h15).

Dans son édition du jour, l’Equipe évoque aussi cette défaite du PSG Handball contre Kielce. Battu d’un souffle par les Polonais, le PSG devra une nouvelle fois se contenter du match des frustrés contre le FC Barcelone pour une troisième place anecdotique qu’il a déjà réussi à s’offrir à quatre reprises (2016,2018, 2020,2021) rappelle le quotidien sportif. Que ce soit la section masculine de football, celle féminine ou le handball, « le club de la capitale court toujours après la couronne européenne depuis plus d’une décennie. » Le PSG Handball, depuis sa finale de 2017, a échoué à quatre reprises en demi-finale. « Il n’y a rien d’indigne à s’incliner d’un but contre Kielce, finaliste l’an passé. Depuis 2016, ce dernier a changé de dimension pendant que le PSG réduisait la voilure et laissait s’envoler ses stars« , défend l’Equipe. Ils se sont montrés héroïques avec une équipe très diminuée par les problèmes physiques, indique le quotidien sportif. « Avec toujours ce grand cœur qui leur a permis d’arracher le titre national des mains de Montpellier et de Nantes, au bout d’un championnat haletant.« 

L’Equipe qui revient aussi sur la performance d’Elohim Prandi. Le 2 juin dernier, il s’est fracturé la main gauche. Il n’aurait pas dû jouer ce match et encourager ses coéquipiers depuis les tribunes. Son capitaine, Luka Karabatic a tenu à lui rendre hommage à l’issue de la rencontre. « Chapeau à Elohim d’avoir pu être avec nous, ce n’était pas gagné. Ça montre le joueur que c’est. Il joue avec le cœur. Je n’en doutais pas, c’est un guerrier. » Il a également été félicité par ses adversaires, Daniel Dujshebaev, l’arrière de Kielce, a enlacé Prandi dans une étreinte magnifique à l’issue de la victoire des Polonais contre le PSG. « Pleine de respect, tant le Français (24 ans) a donné de sa personne alors que sa main gauche fracturée, le 2 juin dans le choc final décisif pour le titre national revenu à Paris contre Nantes (35-32), aurait dû le cantonner au rôle de spectateur, samedi à Cologne. » L’arrière gauche du PSG regrette son tir à deux minutes de la fin qui a été stoppé par le gardien qui aurait pu permettre au club de la capitale de passer devant. « Ce tir de merde que je ne dois pas prendre. » Quand les journalistes, lui font remarquer qu’il ne s’est pas entraîné beaucoup depuis sa fracture, il ne veut pas se chercher d’excuse. « Ouais, mais ce n’est pas une raison. Main cassée ou pas, j’en ai rien à faire, si je suis sur le terrain c’est que je suis apte à jouer. Je m’en veux parce que c’est mon action qui leur donne le match. J’ai manqué de lucidité. » Une force de caractère qui fait sa force avance l’Equipe.

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