Dugarry répond à l’attaque de Di Campli dans le dossier Verratti
Décidément, tout le monde a son avis à donner sur le cas Marco Verratti. Il faut dire que le joueur a surpris son monde, en demandant à la direction francilienne de quitter le club qui l’a débauché de la Serie B, pour rejoindre les grands rivaux du FC Barcelone.
Alors que de nombreux journalistes et chroniqueurs ont ouvertement taclé les méthodes de Donato Di Campli, l’agent du petit hibou a décidé d’utiliser la voix des réseaux sociaux pour répondre à l’un deux, Christophe Dugarry.
« Cher Dugarry, en Italie on se souviens de toi pour les défilés de mode et les soirées à base de Pepsi, pas pour avoir joué au foot… qui es tu ? », a tweeté le représentant de l’international italien.
Caro Dugarry,
in Italia sei ricordato, per le sfilate di moda ed i party a base di pepsi e non per aver giocato a calcio..
Da che pulpito..— Donato Di Campli (@donatodicampli) 20 juin 2017
Ce à quoi l’ancien champion du monde a tenu à répondre, au micro de RMC : « Je suis passé à côté de mon histoire avec le Milan, mais je ne suis jamais sorti. Ce qui me gène une fois de plus, c’est que ce Monsieur a son joueur en conflit avec le PSG, un conflit qui est moche, qui prend des proportions assez malsaine d’ailleurs. Il a un transfert de 100 millions d’euros à gérer, des négociations avec le Barça, et la seule chose qu’il trouve à faire en vacances avec son joueur à Ibiza, c’est de me répondre. Moi je ne comprends plus, c’est ça le travail des agents ? »
« Le Raiola du pauvre, il est bien gentil, mais qu’il s’occupe de son joueur, qu’il change d’attitude aussi. J’en ai marre de l’entendre ramener sa fraise tous les trois mois sur le niveau extraordinaire de Verratti , pour dire à quel point il est génial. Il faut que Verratti s’exprime, qu’il arrête de faire parler son agent. Ces agents qui font juste du bruit, ça devient insupportable. Il devrait remonter les bretelles à son joueur plutôt que de me les remonter à moi. C’est le problème de l’entourage. Tout le monde lui dit t’es le plus grand le plus fort le plus beau, et dès que quelqu’un dit le contraire… », a conclu Dugarry.
