Revue de presse PSG : Rabiot, Areola, Mbappé, Neymar, Strasbourg…
Vu et lu au sujet du PSG ce mardi 4 décembre
2018 dans la presse hexagonale.
« Le PSG, qui a vu Bordeaux mettre fin à
son incroyable série de victoires dimanche (2-2), cherchera
à renouer avec le succès à Strasbourg demain (21h), en
clôture d’une 16e journée de L1, résume l’AFP.
A moins d’une semaine du déplacement décisif à
Belgrade pour la qualification en Ligue des Champions, le
11 décembre prochain, Paris se rendra vraisemblablement en Alsace
avec un groupe délesté de ses titulaires
principaux. Avec la rechute de Neymar, aligné à
Bordeaux malgré des adducteurs en délicatesse, et la nouvelle
frayeur Kylian Mbappé, victime de crampes en Gironde plus d’une
semaine après son alerte à l’épaule, Thomas Tuchel sera
poussé à ne prendre cette fois aucun
risque. »
« C’est parce qu’ils ne savaient pas que c’était
impossible qu’ils l’ont fait. En 2017-2018, les
Strasbourgeois ont été les premiers à faire tomber le PSG (2-1).
Peuvent-ils rééditer cet exploit demain (21h) à la Meinau ? demande
L’Alsace.
On prend les Paris ? »
« Petit dernier de la fratrie du Ballon d’Or, le
prix du meilleur espoir a viré au plébiscite pour Kylian
Mbappé, qui a reçu la bénédiction sans limite des anciens
lauréats. Un signe, écrit France Football.
Le premier vainqueur du Trophée Kopa n’est pas
exactement une surprise. Que pas un des 22 votants qui se sont
exprimés, de Luis Suarez à Cristiano Ronaldo, n’ait omis de placer
son nom en haut de son bulletin n’en revêt pas moins une symbolique
très forte. Ce plébiscite a valeur d’adoubement pour le
môme français. »
« Scandale ou dénouement logique ? Les
candidats français au Ballon d’Or, à commencer par Griezmann et
Mbappé, ont été dominés par Modric et par
Ronaldo, constate Le
Parisien. À 19 ans,
Mbappé est un phénomène de précocité,
récompensé hier soir par le trophée Kopa. Mais il ne peut
pas acheter les années et les saisons.
[…] Mbappé devra-t-il, en plus de s’armer de patience,
quitter la Ligue 1 et rejoindre un championnat mieux
exposé, s’il souhaite un jour décrocher la distinction
individuelle suprême ? Il faut écouter Gigi Buffon qui assurait en
ce triste lundi pour les Bleus : « Dans les
années à venir, on sera ici pour fêter MBappé et
Neymar. »
« Rien n’a filtré sur le résultat de l’IRM passée
par Neymar après sa nouvelle blessure à l’adducteur
droit, remarque le journal francilien. On devrait
en savoir plus aujourd’hui (Neymar
devrait manquer les matches contre Strasbourg et Montpellier,
ndlr). Rabiot et Meunier, pas du voyage à
Bordeaux, étaient de retour à l’entraînement hier.
Ils devraient effectuer le déplacement demain à
Strasbourg. »
Il est question dans L’Equipe
d’Adrien Rabiot, « parti pour
partir » avec ces informations : Il
« a récemment discuté avec certains agents
– sans s’éloigner de sa mère, qui est aussi sa conseillère –
pour examiner en détail les conditions et les opportunités
d’un départ. Car, financièrement, l’opération
s’annonce conséquente pour un tel élément qui sera libre.
Le FC Barcelone, la Juventus ou encore Tottenham,
ont déjà fait savoir leur vif intérêt. Certaines envisagent même de
passer à l’action cet hiver avec l’espoir de voir
Paris se résoudre à ouvrir la porte à un transfert face à la
perspective de le voir partir pour zéro euro. Le joueur,
lui, a laissé filtrer une préférence pour le club catalan
mais, au-delà des considérations financières, il entend aussi peser
les perspectives sportives. […] Si Rabiot assure que sa
non-prolongation n’est pas une question d’argent, cela a un peu à
voir avec ça, quand même. Il souhaiterait des revenus
d’environ 10M€ net par an, c’est-à-dire proches de ceux de
Mbappé. Des montants pas trop éloignés des dernières propositions
faites par le club et qui arrachent ce mot à un proche du dossier :
« Avec les Rabiot, on ne sait
jamais… »
« Alors qu’il semblait d’accord avec Paris sur les termes
d’une prolongation (jusqu’en 2022), Alphonse Areola
patiente avant de signer, lit-on encore. Buffon
sera très probablement titulaire à Belgrade, le 11 décembre.
Cette répartition des matches ne paraît pas tout à fait du
goût d’Areola, qui a de plus en plus le sentiment de finir
l’année 2018 dans un rôle de doublure. Il
sent bien que Buffon n’est pas venu à Paris pour jouer un match de
C1 sur deux. Alors, poussé par son entourage, il a préféré
différer la signature de sa prolongation. Prend-il un
risque ? Pas vraiment. Areola conserve une bonne cote sur le
marché. »