La revue de presse PSG

Vu et lu dans la presse hexagonale au sujet du PSG ce dimanche 24 avril 2016.

« Ce ne sont pas les deux buts les plus limpides de la saison du PSG, mais ils suffisent à son bonheur, observe le JDD. Une reprise déviée de Pastore, entachée d’un hors-jeu de position qui fait débat, puis une bourde de la défense lilloise dont a profité Di Maria, ont permis de venir à bout de Lille dans cette 22e finale de Coupe de la Ligue, riche en rebondissements. Décisifs, les deux Argentins ont par ailleurs régalé, par séquences. Le premier a fait regretter son absence en Ligue des champions, le second sa transparence et ses moments de suffisance comme sur ce coup du foulard en première période. (…) C’est le onzième trophée de l’ère qatarienne et c’est assez remarquable. Mais, comme toute domination sans partage, cette moisson va finir par lasser. (…) Les cotillons d’hier le soulagent un peu : il fallait voir les sourires de ces hommes aux CV pourtant chargés avec leur trophée miniature en main.(…) Maintenant, il s’agit de trouver une alternative à Ibrahimovic et de régénérer un groupe, sans perdre de vue le dossier de l’entraîneur. Laurent Blanc, qui a prolongé de deux ans en février, n’a pas marqué des points à Doha avec ses paris ratés en C1. Son départ n’est pas d’actualité mais sa marge de manœuvre s’est restreinte. Même attendu, ce succès a donc au moins le mérite d’oxygéner l’atmosphère de cette fin de saison. »

« Le PSG a conservé son titre et Frédéric Antonetti perdu sa quatrième finale (2-1). Battus par plus expérimentés, les Lillois n’ont pas sombré : ils ont eu leur chance mais n’ont pas su la saisir. Face à ces Parisiens, ça ne pardonne pas », écrit La Voix du Nord.

« Peut-être parce qu’il n’est pas encore taillé pour l’étage continental, le PSG ne méprise aucune compétition nationale et, hier soir, il a remporté pour la troisième année de suite la
Coupe de la Ligue, en marquant le but décisif alors même qu’il évoluait en infériorité numérique, lit-on dans L’Equipe. Après le coup de sifflet final, les Parisiens, joyeux, étaient tous en cercle au milieu du terrain, à s’enlacer, à sauter, se congratuler, tous à l’exception de Zlatan Ibrahimovic, qui traînait des pieds et donnait presque le sentiment d’être blasé avec le 28e titre de sa carrière. (…) Le talent individuel des champions de France en titre, conjugué aux trop nombreuses erreurs individuelles adverses, a tracé une autoroute vers le succès. »

« Il n’est pas ­insensé d’imaginer que les Parisiens auraient peut-être mieux négocié leur quart de finale contre Manchester City si Javier Pastore et Marco Verratti avaient été aptes à l’époque, ajoute le quotidien sportif. Par la qualité de ses passes verticales et sa finesse technique, Pastore a été le chef d’orchestre du PSG. Preuve que sa performance a été remarquée hier, il a été élu homme du match. »

Les notes de L’Equipe : Sirigu 7 / Aurier 4 / Marquinhos 6 / Silva 7 / Kurzawa 4 / Rabiot 3 / Matuidi 5 / Pastore 7 / Lucas 3 / Di Maria 6 / Ibrahimovic 5

Les notes du Parisien : Sirigu 6.5 / Aurier 4 / Marquinhos 6.5 / Silva 6.5 / Kurzawa 5.5 / Rabiot 3 / Matuidi 5 / Pastore 7 / Lucas 5 / Di Maria 5.5 / Ibrahimovic 5.5

« Marseille est prévenu. Le PSG ne laissera pas une miette aux autres, comme la saison passée, affirme Le ParisienLes Parisiens continuent de truster les titres nationaux et, à voir leur joie sur les buts de Pastore et Di Maria ou à la fin du match, ils ne s’en lassent pas. »

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